« Conversation alsacienne » en un acte, sur un livret de Paul Boisselot et une musique de Jacques Offenbach, créée au Kursaal de Bad Ems le 21 juillet 1863.
Cette opérette connaît un succès public immédiat que sa reprise aux Bouffes-Parisiens ne dément pas. Le choix d’un couple de personnages alsaciens est bien sûr lié au contexte de création : les touristes européens venant l’été profiter des eaux de Bad Ems durent beaucoup s’amuser d’entendre les langues françaises et allemandes joyeusement entremêlées ; pour peu, ils auraient même pu s’imaginer que la farce s’adressait à eux. Qui sait…
Opérette en un acte sur un livret de Péricaud et Villemer et une musique de Frédéric Wachs, créée à l’Eldorado en 1876.
L’opérette de Wachs s’aventure dans les contrées expérimentales de l’absurde. Entré par erreur chez sa voisine du dessous, Bigorneau entrevoit Thérézina en train de poignarder un homme. Il ne comprendra que plus tard qu’il s’agissait d’un mannequin et que la jeune comédienne répétait une scène de théâtre. Encore difficile à évaluer, le succès de cette pièce semble cependant être confirmé par les suites que ses librettistes lui ont données en 1878 au Concert du XIX° siècle : Un mari à l’essai (musique de Bernicat) et Un mari à grande vitesse (musique de Delormel).
un plaisir de soiree une soirée de plaisir bon accueil belle salle Une actrice un acteur vraiment trèssagréable bien marrant merci aux aacteurs de nous montrer leurs chatoyants talents
Pour 1 Notes
un plaisir de soiree une soirée de plaisir bon accueil belle salle Une actrice un acteur vraiment trèssagréable bien marrant merci aux aacteurs de nous montrer leurs chatoyants talents
Avenue de Marigny 75008 Paris