Pour cette soirée d’hommage au compositeur Georges Bizet dont on commémore le 150e anniversaire de la mort, deux oeuvres sont à l’affiche : L’Arlésienne, inspirée de la nouvelle éponyme d’Alphonse Daudet et Le Docteur Miracle, opérette en un acte dont l’air du « quatuor de l’omelette », fut bissé le soir de la première représentation, aux Bouffes Parisiens, le 9 avril 1857.
La recette d’une bonne omelette ? Beaucoup d’amour et un peu d’herbes de provence…
Pour cette soirée d’hommage au compositeur Georges Bizet dont on commémore le 150e anniversaire de la mort, deux oeuvres sont à l’affiche : L’Arlésienne, inspirée de la nouvelle éponyme d’Alphonse Daudet et Le Docteur Miracle, opérette en un acte dont l’air du « quatuor de l’omelette », fut bissé le soir de la première représentation, aux Bouffes Parisiens, le 9 avril 1857. Georges Bizet n’avait alors que 18 ans et avait remporté, premier ex æquo, le concours lancé par le directeur du théâtre, Jacques Offenbach. Oubliée pendant près d’un siècle, l’opérette est redécouverte en 1951 et pour cette nouvelle production sur une idée du Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française, Pierre Lebon dessine les costumes et réalise la mise en scène des deux œuvres.
Si l’on croit aujourd’hui connaître mieux L’Arlésienne, c’est l’intégralité de la musique de scène que le public redécouvre, grâce à une adaptation sous forme de conte musical pour un récitant, un acteur-danseur, deux danseurs et quatre chanteurs, réalisée par le musicologue Hervé Lacombe, biographe de Georges Bizet. Quant à l’aventure épique du Docteur Miracle, qui se joue du Podestat de Padoue pour conquérir sa fille Laurette, elle suscitera le rire et l’émotion car, en dépit du charlatanisme et du poison, c’est toujours l’amour et le chant qui triomphent !
1, place du Châtelet 75001 Paris