Présentation
La presse à propos des précédents spectacles de la compagnie
Philippe Genty :
Le maître des Marottes
Depuis 30 ans, Philippe Genty, artiste inclassable, ne cesse de créer de drôles de spectacles, peuplés de personnages issus de son imaginaire. Il met en scène à la fois des comédiens, des danseurs et des marionnettes pour nous parler des humains que nous sommes, avec nos contradictions, nos interrogations, nos peurs et nos tourments. Il utilise des artistes, des effets spéciaux et des fantoches de papier mâché ou de tissus pour exprimer nos fantasmes, nos secrets, notre inconscient, pour explorer les paysages intérieurs de l’individu. Il crée ainsi un univers surréaliste mêlant, avec art et intelligence, l’illusion et la magie des images au théâtre, à la pantomime et à la danse.
Dans sa nouvelle création, il nous entraîne dans un nouveau rêve, habité d’êtres loufoques : un maître nageur, philosophe à mi-temps et pâtissier le reste du temps, un mannequin dont la taille varie en fonction de l’environnement, une danseuse de cabaret en état d’apesanteur… Venez découvrir ce monde onirique. Partez pour ce voyage dans le fantastique.
A propos de Passagers clandestins
« Philippe Genty, c’est un univers, une autre dimension dans laquelle notre réalité n’est plus d’aucun secours. Envolées les certitudes, disparue la logique, balayés les repères confortables, avec Philippe Genty, cela se passe ailleurs, sur le territoire des rêves, au travers des chemins de l’imaginaire. »
L’indépendant
« Les spectacles de Philippe Genty sont techniquement parfaits, esthétiquement irréprochables et, Passagers Clandestins (…) ne fait pas exception. Spectacle d’images, d’illusion et de peu de mots, il accumule les coups d’esbrouffes, les escamotages, dans une scénographie superbe réglée au quart de millimètre. » Libération
« Le spectacle est d’une extrême beauté. (…) Passagers clandestins est un chef d’œuvre de magie, de poésie, d’imagination créatrice sans frein. » Le Monde
A propos de Voyageur immobile
« (Philippe Genty) sait raconter les histoires les plus fortes avec une maestria sans équivalent sur les scènes. »
Le Monde
A propos de Ligne de Fuite
« Philippe Genty est un manipulateur-inventeur de mondes, inspiré par le moindre bout de ficelle. » Télérama
« Il fait feu de tout bois, tout kraft, toute mousse. Philippe Genty est un manipulateur-inventeur de mondes, inspiré par le moindre bout de ficelle. Ficelles de marionnettes, d’abord, puisqu’il commence avec un pantin de sa fabrication, dès l’âge de 12 ans. Une quarantaine d’années plus tard, il est toujours fidèle à ses marottes, mais il en crée de géantes ou de minuscules, embryons d’hommes qui narguent notre humanité.
Depuis sa première création en 1968, jusqu’à ses tout derniers Voyageurs immobiles et autres Passagers clandestins, Philippe Genty n’a cessé de créer des images limites. Ballets d’autruches en goguette, incroyables pantomimes où le comédien et son double de chiffon semblent habités par la même âme. Le spectateur ne sait plus s’il assiste à un spectacle de marionnettes, de danse, ou de théâtre.
Les fantoches de papier mâché furent d’abord, pour Genty, des béquilles. A voir cet homme si doux, qui croirait son humeur assagie au prix de douloureuses batailles « La mort accidentelle de mon père, que l’on m’a cachée pendant une année entière – j’avais 6 ans !-, a provoqué en moi une sorte de désintégration intérieure. J’ai pu extérioriser tout cela grâce à la marionnette. »
Cet apprentissage d’adulte, il l’assume à 20 ans au travers d’un long voyage : 4 ans et demi de tour du monde en 2CV, pendant lesquels il fait l’inventaire de la culture des marionnettes. Pour survivre, il monte son castelet partout, chez les aborigènes comme chez les dames patronnesses de Sydney. Il comprend alors que le langage de l’image est universel. L’accueil qu’il reçoit dans le monde entier, de New York à Osaka, le lui prouve.
Ses personnages d’ailleurs sont souvent voyageurs ; ses espaces scéniques empruntent aux déserts la vide beauté d’où surgissent des surprises. Et plus encore que le bunraku, cet art japonais du XVIIème siècle, qui le premier « avoua la présence d’un manipulateur », c’est la psychanalyse qui influence son univers. Il dévore Freud, Groddeck, Bettelheim. Ses propres rêves forgent son esthétisme : « des images qui me hantent malgré le temps, assemblées sur le mode associatif, que chaque spectateur peut prolonger à sa guise »
Télérama
Des effets visuels impressionnants entrainant le spectateur dans une suite d'évenements d'apparence illogiques ,les acteurs sont amenés a accomplir pour le plus souvent des performances de prestigitations et de marionettisme . Il s' agit ici d' un voyage onirique pour ceux qui sont en quète d'histoire à fort contenu philosophique seront fortement agacé par le vide intellectuel que propose ce genre de spectacle .
Des effets visuels impressionnants entrainant le spectateur dans une suite d'évenements d'apparence illogiques ,les acteurs sont amenés a accomplir pour le plus souvent des performances de prestigitations et de marionettisme . Il s' agit ici d' un voyage onirique pour ceux qui sont en quète d'histoire à fort contenu philosophique seront fortement agacé par le vide intellectuel que propose ce genre de spectacle .
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