Il s’appelle Pietr, elle, Lisbeth. Singulier. Leur histoire se déploie, accidentelle, drôle, imprévisible. Un soir, alors qu’ils se sont donné rendez-vous sur un quai de gare, il ne la reconnait pas.
Un homme, une femme ; une rencontre. Puis le désir fulgurant, le partage des corps et, au final de l’étreinte, la méconnaissance de l’autre. « Merci pour le coup de foudre ». Pietr et Lisbeth vivent ainsi une relation passionnée qui, au fil du temps, révèle que les passés sont multiples, contradictoires. Entre oublis et fantasmes, la mémoire de Lisbeth se déconstruit.
Pour Pietr, la jeune femme reste cette inconnue dont les territoires mouvants ne constituent jamais une identité précise. Un début d’amour désarmant, désopilant. Un coup de foudre à une terrasse de café. Il est voyageur de commerce. Elle vend des bijoux. Ils ont tous les deux la quarantaine discrète. Il s’appelle Pietr, elle, Lisbeth. Singulier. Leur histoire se déploie, accidentelle, drôle, imprévisible.
Un soir, alors qu’ils se sont donné rendez-vous sur un quai de gare, il ne la reconnait pas. Ses baisers sont les mêmes, pourtant. Son rire, aussi. Mais ce n’est plus sa voix, ce n’est plus son visage. Ce n’est pas une autre femme, non. C’est une autre Lisbeth.
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