L’énigmatique disparition, en mars 1938, du physicien italien de génie Ettore Majorana, a suscité bien des questionnements, d’autant plus que plusieurs articles spécialisés paraissent encore, chaque jour, sur les « quasi-particules » qui portent son nom, et qui pourraient avoir une importance dans la conception des ordinateurs quantiques.
La pièce retrace le parcours de ce personnage insaisissable, et tente d’éclairer les raisons de sa fuite. Sa destinée fait écho à celle de deux femmes du vingt-et-unième siècle, dont l’une prendra le vol MH370 de la Malaysian Airlines qui a lui aussi disparu.
Deux histoires jouées en parallèle dont l'on apprécie les liens et les similitudes. Tout d'abord, la mise en scène d'un couple de femmes, dont la disparition tragique de l'une, inspirée de faits réels, hante la deuxième. La scène démarre et se déroule 1 an après le crash de l'avion de la Malaysia Airlines (MH370) ; c'est un jeu délicieusement ponctué de flash backs qui nous fait vivre et comprendre la relation de ses deux femmes. On ressent toute la détresse de cette scientifique en plein deuil. Ensuite, la pièce est morcelée par l'histoire d'Ettore Majorana, génie italien des années 20-30. Il a rejoint un groupe de jeunes physiciens, auquel on s'attache facilement, et que l'on affectionne à travers leurs péripéties. Chacun de leurs rôles est très bien interpreté et le mystérieux Majorana est extrêmement touchant. Un véritable voyage dans le passé dans lequel on se laisse volontiers porter, à travers plusieurs pays et cultures. La pièce constituée de ces différentes scènes jonglant d'une histoire à l'autre nous tient en haleine. Il faut accepter la confusion du début car les éléments prennent de plus en plus de sens au fur et à mesure de la pièce et on savoure avec engouement la fusion finale des 2 histoires. Un grand bravo à ses jeunes comédiens talentueux et prometteurs. Je reviendrai avant la fin de ce spectacle avec grand plaisir !
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Deux histoires jouées en parallèle dont l'on apprécie les liens et les similitudes. Tout d'abord, la mise en scène d'un couple de femmes, dont la disparition tragique de l'une, inspirée de faits réels, hante la deuxième. La scène démarre et se déroule 1 an après le crash de l'avion de la Malaysia Airlines (MH370) ; c'est un jeu délicieusement ponctué de flash backs qui nous fait vivre et comprendre la relation de ses deux femmes. On ressent toute la détresse de cette scientifique en plein deuil. Ensuite, la pièce est morcelée par l'histoire d'Ettore Majorana, génie italien des années 20-30. Il a rejoint un groupe de jeunes physiciens, auquel on s'attache facilement, et que l'on affectionne à travers leurs péripéties. Chacun de leurs rôles est très bien interpreté et le mystérieux Majorana est extrêmement touchant. Un véritable voyage dans le passé dans lequel on se laisse volontiers porter, à travers plusieurs pays et cultures. La pièce constituée de ces différentes scènes jonglant d'une histoire à l'autre nous tient en haleine. Il faut accepter la confusion du début car les éléments prennent de plus en plus de sens au fur et à mesure de la pièce et on savoure avec engouement la fusion finale des 2 histoires. Un grand bravo à ses jeunes comédiens talentueux et prometteurs. Je reviendrai avant la fin de ce spectacle avec grand plaisir !
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris