Marciel hallucine

Du cinéma théâtre
Les rêves de Marciel
La presse

• Du cinéma théâtre

Un acteur sur scène qui dialogue avec un acteur sur écran, pour ceux qui n'auraient jamais vu, ça surprend. Lorsque l'acteur entre et sort du film, ça étonne. Mais lorsque ledit acteur, alias Marciel, hallucine, déraille, part en vrille, s'éclate comme jamais, au point même de se multiplier... alors le cinéma-théâtre risque de ne ressembler à rien qui n'ait déjà existé. Juste autre chose, d'hallucinant.

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• Les rêves de Marciel

Marciel, artiste-paysan d'humeur habituellement joviale, déraille sec. Il rêve, râle sur tout, sans cesse.

Un virus pollue ses rêves. Et Marciel sans ses rêves, n'est plus que la plus mauvaise moitié de lui-même. D'autant que ses rêves se passent toujours au 18ème siècle et toujours auprès de la même héroïne. Mais l'héroïne s'est lassée, fatiguée des décors, costumes et beaux textes romantiques... Aujourd'hui, la jeune femme s'amuse à se transformer en robot numérique, s'amuse avec une multitude d'effets spéciaux...

Et cette intrusion du monde moderne au cœur même de son imaginaire rend Marciel hystérique. Il aura beau s'être plaint au bureau des réclamations des rêves, l'avènement du bonheur virtuel ne lui aura été que confirmé. Inquiet de savoir qui du monde ou de lui-même perd la boule, Marciel accepte, sur les conseils d'un ami, de rencontrer quelqu'un susceptible de l'aider. L'ami lui chuchote un nom et une adresse à l'oreille. Le spectateur n'a pas entendu. Nous savons juste qu'il ne s'agit pas d'un psy...

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• La presse

"Subjugant et à ne manquer sous aucun prétexte" Le Point
"On reste scotché dans son fauteuil" Le Parisien
"Marciel virtuose, arlequin surdoué, le spectateur hallucine" Le Figaro
"Etourdissant de drôlerie, d'invention. Vertigineux" Zurban
"C'est fou, pour le croire, il faut le voir" Pariscope
"Technique irréprochable et innovante... Marciel crève l'écran" France Soir

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