Mathilde revient. Pierre l’attend-t-elle ? Pierre attend Mathilde. Mathilde reviendra t-elle ?
Entre Mathilde et Pierre, un espace béant, une plaie ouverte sur le désir, révélé, douloureux et pourtant
revendiqué. Mathilde est-elle coupable ?
Autour de Mathilde et Pierre, un espace cloisonné, petit-bourgeois, trop grand, une enfilade de pièces
comme autant d’étapes qu’ils tentent de franchir, ensemble. Où cela doit-il
les mener ?
Chez Pierre et Mathilde, les idées reçues jouent avec la volonté de leur échapper dans un va-et-vient chaotique et irraisonné. À qui la faute ?
Pour Mathilde et Pierre, un fil pulsionnel se déroule au cœur d’un labyrinthe
dont ils se découvrent à la fois les gardiens bienveillants et le monstre « Janusien » qui les guette.
Une histoire de gens, ni héros, ni paumés, simplement vivants.
Didier Long
Dommage qu'on n'ait pas d'enfant, ça aurait meublé
Mathilde ne propose ni le procès d'une femme happée par le désir d'un jeune
homme de quatorze ans, ni l'affrontement d'un couple, mais le portrait d'êtres
vivants.
C’est imprévisible. Traître. Douloureux. Jouissif. Aigu. Violent.
C’est notre preuve d’humanité.
C’est l’abandon. L’inconnu. La perte. La révélation.
Cela s’appelle : le Désir.
Véronique Olmi
j'ai aimé cette pièce, Arditi y est intense et superbe. Ariane Ascaride en fait un peu trop par moment (on dirait Orane Demazis dans Fanny de Pagnol) mais le texte est juste. J'ai apprécié l'ensemble et ne me suis pas ennuyée une seconde.
dommage surtout que V. Olmi se croit autorisé à faire valoir ses talents d'écrivaillon. Qu'on la supplie de se cantonner à jouer et de ne pas nous infliger un tel pensum, faussement provocant, ennuyeux, avec des envolées à la limite du jouissif tellement elles frisent le ridicule. Que fait Arditi dans cette galère? Certainement nous empêcher de dormir à cause du respect qu'on lui porte.
Dommage qu'Ariane Ascaride déclame au lieu de jouer et qu'Arditi fasse juste du Arditi... décevant
j'ai aimé cette pièce, Arditi y est intense et superbe. Ariane Ascaride en fait un peu trop par moment (on dirait Orane Demazis dans Fanny de Pagnol) mais le texte est juste. J'ai apprécié l'ensemble et ne me suis pas ennuyée une seconde.
dommage surtout que V. Olmi se croit autorisé à faire valoir ses talents d'écrivaillon. Qu'on la supplie de se cantonner à jouer et de ne pas nous infliger un tel pensum, faussement provocant, ennuyeux, avec des envolées à la limite du jouissif tellement elles frisent le ridicule. Que fait Arditi dans cette galère? Certainement nous empêcher de dormir à cause du respect qu'on lui porte.
Dommage qu'Ariane Ascaride déclame au lieu de jouer et qu'Arditi fasse juste du Arditi... décevant
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