Juste avant Saigon, la compagnie Les Hommes Approximatifs a créé, pour un appartement apparemment sans histoire, Mon grand amour.
Caroline Guiela Nguyen y introduit trois récits. À quelques pas des spectateurs, chacun d’entre eux marque les murs de sa propre empreinte. Nous rencontrons d’abord un policier qui a consacré sa vie à son travail. Nous croisons ensuite une femme qui a choisi de mettre fin à son couple. Le troisième récit reste à inventer : dans chaque ville, la metteuse en scène invite un comédien amateur à rejoindre et à compléter le projet.
Au plus près des personnages, de chaque visage et de chaque histoire, l’appartement devient alors, comme toujours chez Caroline Guiela Nguyen, le lieu d’un « récit commun pour partager nos blessures ».
166 Rue de Tolbiac 75013 Paris