Après Freud et Lacan, une femme questionne son rapport au genre. Dans une forme mêlant théâtre, chant, vidéo et musique, c’est toute l’énigme de la féminité qui est interrogée. De la scène à l'autre scène, c'est l'inconscient qui est convoqué. Désir, féminité, fantasme, langage…
« Avec beaucoup de délicatesse, Caroline De Diesbach réussit à rendre captivante cette relation entre la psychanalyste – si bienveillante jouée par Isabelle Gomez – et sa patiente. Et le spectacle n’est pas triste, loin de là, il est passionnant de bout en bout... » Evelyne Trân, Lemonde.fr
« Ce sont autant le texte, les échanges inspirés de véritables séances de psychanalyses, que la mise en scène, la mise en chansons, la mise en musique et le langage du corps donné par Caroline de Diesbach, qui expriment cette recherche de réponse, cette mise à nue pudique et impudique. L’esprit de joie est semé partout dans ce désarroi profond mais donné avec grâce et humour. » Bruno Fougniès, Regarts.org
« Simplicité monacale qu’elle sait rompre avec intelligence le charme naît d’une envie profonde de Caroline de Diesbach de donner envie à chacun de fouiller en soi-même, pour trouver la clé de ses rêves et de ses cauchemars… Et si, finalement, la plus belle scène du monde était notre théâtre. » Maïlys Celex-Lanval, Toute la culture
« Un spectacle rare, jamais identique… qui laisse le champ ouvert à de nombreuses discussions... » Yves Bertrand, Revues-spectacles.com
J'ai aimé le rôle de la psychologue. Les échanges entre la psychologue et la patiente m'ont plu mais malheureusement ils sont peu nombreux. La partie chantée et les vidéos sont déplaisants et les changements soudain de lumière sont très désagréables.
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J'ai aimé le rôle de la psychologue. Les échanges entre la psychologue et la patiente m'ont plu mais malheureusement ils sont peu nombreux. La partie chantée et les vidéos sont déplaisants et les changements soudain de lumière sont très désagréables.
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