Nous accompagnons cet homme en devenir, qui construit son identité, parpaing après parpaing. Le parpaing est à la fois un poids, un matériau de construction, et de la fondation ; il rappelle ses origines, une low-middle-class de zone indus', Flunch, les maisons Phénix. Mais que se passe-t-il lorsque ce que l’on a choisi d’être ne colle plus avec la réalité que l’on découvre ?
À qui les secrets de famille font-ils du bien ?
Voici l’interrogation principale de Parpaing, premier texte de Nicolas Petisoff. Il y raconte son parcours. Celui d’un enfant qui, quoi qu’il arrive, se réveille le matin parce qu’il y a forcément un demain. Celui d’un jeune adulte qui doit décider de la manière de se présenter au monde parce qu’il faut bien être quelqu’un. Celui d’un jeune homo dans une petite ville du centre de la France. Nous accompagnons cet homme en devenir, qui construit son identité, parpaing après parpaing. Mais que se passe-t-il lorsque ce que l’on a choisi d’être ne colle plus avec la réalité que l’on découvre ?
Le parpaing est à la fois un poids, un matériau de construction, et de la fondation ; il rappelle ses origines, une low-middle-class de zone indus', Flunch, les maisons Phénix.
« Si Nicolas Petisoff se livre sur le plateau, avec la complicité de Guillaume Bertrand pour la musique électronique en direct, c'est pour dire que la vérité est toujours profitable aux non-dits. Et il cite Nietzsche "Deviens ce que tu es". Une poésie du quotidien. » L'Humanité
« Sur scène, Nicolas Petisoff nous bouscule à grand coup de parpaings lancés à pleine douceur depuis la scène où sur l'écran derrière lui défile les films d'archives de sa vie, dans une mise en scène épurée et efficace. » La Provence
« Autobiographique, Parpaing est le contraire d'un spectacle autocentré. Ce que raconte Nicolas Petisoff, l'histoire d'un secret de famille et des souffrances provoquées par les mensonges et les non-dits, est quasi-universelle. L'invitation à s'aimer soi-même, tel que l'on est, et à aimer les autres, tels qu'ils sont, l'est tout autant. » Tipaine Leroy, Théâtre(s) magazine.
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