La pièce la plus sensible de Claudel, mise en scène par un poète de la scène, pour libérer toutes les foudres de la passion amoureuse.
Paul Claudel a 32 ans lorsqu’il retourne en bateau dans cette Chine qu’il admire tant pour occuper le poste de consul de France à Fou-Tchéou. De ce voyage qui va bouleverser sa vie, il fera la matière du Partage de midi, pièce autobiographique selon son auteur, imprimée à compte d’auteur en 1906 pour quelques amis et interdite à la représentation pendant plus de quarante ans avant qu’il n’en propose une seconde version plus « acceptable ».
En choisissant la première version, Éric Vigner fait entendre la violence d’un poète qui expose sans fard les méandres de l’incontrôlable et explosif désir amoureux. À travers l’amour impossible de Mesa et d’Ysé, ces Tristan et Yseult modernes, on entend un cri douloureux, énigmatique et provocant, énoncé dans une langue bouleversante et envoûtante.
Jean-François Perrier
cette pièce est magnifique, du moins j'ai trouvé que les réactions sont exagérés et la durée de la pièce trop longue… sinon les décors sont magiques et les costumes très beau, très bonne mise en scène.
Très beau spectacle !
cela ne m'arrive jamais mais je suis parti avant la fin et je n'étais pas le seul. Le décor est laid, Jutta Johanna Weiss joue Ysé de façon mécanique et sans passion psalmodiant de façon horripilante le verbe si flamboyant de Claudel, la mise en scène impose des figures de No ridicules.
Pour 3 Notes
cette pièce est magnifique, du moins j'ai trouvé que les réactions sont exagérés et la durée de la pièce trop longue… sinon les décors sont magiques et les costumes très beau, très bonne mise en scène.
Très beau spectacle !
cela ne m'arrive jamais mais je suis parti avant la fin et je n'étais pas le seul. Le décor est laid, Jutta Johanna Weiss joue Ysé de façon mécanique et sans passion psalmodiant de façon horripilante le verbe si flamboyant de Claudel, la mise en scène impose des figures de No ridicules.
31, rue des Abbesses 75018 Paris