Étrange carnaval où s'avancent
Des silhouettes d'hommes à têtes d'animaux,
Des corps dansants dans la boue du blanc.
La chasse est ouverte !
Les grands attrapent les petits à la chair tendre
Et aux joues rebondies comme des pommes.
Tiens ! Une jeune fille sur les genoux de son père.
Érotisme de la génétique, c'est la confusion des sentiments,
Sous la fourrure de l'âne se blottit le désir du Roi chasseur.
Est-il vrai que le vin a le goût du sang ?
« Le conte de Perrault prend du gras, s'habille de sang. La version 2012, ne laisse pas tant la jeune femme échapper à son père. Est-ce que les contes de fées s'obscurcissent à mesure qu'on les comprend » France Culture
et dérangeante. la soumission aux désirs sans retenue d'un puissant; comment en arrive-t-on à accepter l'inacceptable qui se noue sous nos yeux. des artistes forts, une mise en scène qui élève le texte au niveau des adultes et nous fait comprendre la fascination de cet art du conte
Très belle réinterprétation du conte de Peau d'âne. Jeu des acteurs jouissif, fin glaçante! Ça vaut le coup de se repencher sur nos histoire d'enfance.
Pour 1 Notes
et dérangeante. la soumission aux désirs sans retenue d'un puissant; comment en arrive-t-on à accepter l'inacceptable qui se noue sous nos yeux. des artistes forts, une mise en scène qui élève le texte au niveau des adultes et nous fait comprendre la fascination de cet art du conte
Très belle réinterprétation du conte de Peau d'âne. Jeu des acteurs jouissif, fin glaçante! Ça vaut le coup de se repencher sur nos histoire d'enfance.
77, rue de Charonne 75011 Paris