Deux pièces politiquement presque correctes… La première, Assassin mais diplomate, nous fait partager les efforts d’une femme, ministre et très féministe, pour faire châtier durement le meurtrier d’une jeune manucure… mais qui se trouve protégé par une immunité diplomatique et qui, de plus, est particulièrement bien en cours dans son pays. L’autre pièce, Le patient de Beyrouth, aborde le problème posé par le gravissime conflit du Proche-Orient et du terrorisme qui en est, parfois, une conséquence.
Deux pièces politiquement presque correctes…
La première, Assassin mais diplomate, nous fait partager les efforts d’une femme, ministre et très féministe, pour faire châtier durement le meurtrier d’une jeune manucure… mais qui se trouve protégé par une immunité diplomatique et qui, de plus, est particulièrement bien en cours dans son pays. Y a-t-il une solution ? D’après la ministre, oui. Mais quelle solution ?
L’autre pièce, Le patient de Beyrouth, aborde le problème posé par le gravissime conflit du Proche-Orient et du terrorisme qui en est, parfois, une conséquence. L’auteur s’est voulu parfaitement neutre, ce qui lui vaudra, peut-être, d’être blâmé dans les deux camps, les arguments des uns étant très difficiles à supporter par les autres. En fait nous sont montrés des personnages plutôt sympathiques, mais qui sont entrainés peu à peu à défendre des positions extrêmes…