Coralie, Christian et Gonzague parviennent ensemble dans l’espace confiné d’un lieu clos. Coralie devine qu’ils sont morts. Situation peu confortable, mais pourquoi forcément désespérante ou désespérée ?
Coralie, Christian et Gonzague parviennent ensemble dans l’espace confiné d’un lieu clos. Coralie devine qu’ils sont morts. Situation peu confortable, mais pourquoi forcément désespérante ou désespérée ?
N’est-il pas plus plausible qu’un tel enfer reste humain, dérisoire, cocasse, comme tout ce qui touche à notre condition ? L’enfer n’est-il pas avant tout pavé de potins ?