Le retour de la pièce emblématique après 40 ans d'absence sur la scène privée !
Entourés d'une troupe de plus de 20 acteurs, Ana Girardot et Niels Schneider seront les héros de cette nouvelle production du Théâtre de la Porte Saint-Martin. Après la Nuit des Rois et le Songe d'une nuit d'été, Nicolas Briançon met en scène la pièce la plus célèbre du répertoire de Shakespeare, Roméo et Juliette.
Retrouvez la plus belle histoire d'amour du théâtre classique dans une mise en scène prestigieuse et populaire.
« Pour l'essentiel, Nicolas Briançon a réussi son pari : sa mise en scène (...) est efficace, cultive la fibre populaire sans dénaturer la pièce. Sa transposition dans l'univers du « Parrain » (...) est tenue jusqu'au bout. Et il a trouvé deux comédiens convaincants pour incarner le très jeune et très tendre couple d'amants. (...) Malgré ces réserves, (...) vaut bien le détour. » Philippe Chevilley, Les Echos, 30 janvier 2014
Les pièces de Shakespeare se déroulent toujours dans des lieux nombreux, très différents, très rapidement enchaînés. Nous savons comment l’on procédait du temps de l’auteur, par éléments simples, estrades, drapeaux, ou même par panneaux indicateurs, « une forêt », « une rue de Londres », « un rivage au bord de la mer ».
Roméo et Juliette est un cas moins complexe : les amants de Vérone se rencontrent, et rencontrent leurs proches, dans leur ville, une maison, une rue, un monastère. Roméo s’exile quelques heures à Mantoue, on l’y voit le temps d’une scène seulement, il revient à Vérone, court au cimetière et y meurt auprès de son épouse, les personnages du drame se réunissent autour des corps des jeunes gens privés de vie, fin.
Le décor est donc la ville. Pour le metteur en scène de cette version de Roméo et Juliette, Nicolas Briançon, la ville est faite de hauts murs, d’enfermement des enfants dans les obsessions des parents. Il faut simplement passer des murs d’une maison à ceux d’une rue, d’une place, d’un couvent, rapidement, comme on fait quand on lit, quand on pense, quand on se souvient, non pas d’une rue sans importance mais d’un être aimé : c’est à lui qu’on pense, pas à des murs anonymes.
Ces murs, gris comme la vie que les vieux véronais imposent à la jeunesse de leur ville, doivent donc glisser, définir un lieu quelques minutes, passer à un autre sans bruit, comme des ombres, comme nos pas dans les rues où nous passons à la recherche d’autre chose
Dans l'Italie des années 50, un décor intelligent et de jeunes comédiens aussi vrais que beaux.
En un mot j'ai adoré. Et je suis une fan de Shakespeare...
Un Roméo insipide et à l'élocution difficile et parfois inaudible, une Juliette style Lolita, un décor grisâtre et sans âme où circule de temps à autre un lit blanc à roulettes, un public qui rit quand il ne faudrait pas tellement les dialogues sont mal interprétés. Enfin bref, il n'y a pas que Mozart que l'on assassine. A déconseiller aux amateurs de Shakespeare...
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Dans l'Italie des années 50, un décor intelligent et de jeunes comédiens aussi vrais que beaux.
En un mot j'ai adoré. Et je suis une fan de Shakespeare...
Un Roméo insipide et à l'élocution difficile et parfois inaudible, une Juliette style Lolita, un décor grisâtre et sans âme où circule de temps à autre un lit blanc à roulettes, un public qui rit quand il ne faudrait pas tellement les dialogues sont mal interprétés. Enfin bref, il n'y a pas que Mozart que l'on assassine. A déconseiller aux amateurs de Shakespeare...
18, boulevard Saint-Martin 75010 Paris