Shhh

• Comédie subversive

Shhh, un kaléidoscope coloré d'une société pas si éloignée de la nôtre.

Alors voilà, la pièce, c'est toi. Toi, rien que toi ! T’es là. Tu te réveilles un beau jour dans une société où parler, rire, chanter, transpirer, s'ébattre, s'ébrouer, mettre une touillette dans son café, se regarder, respirer, faire l'amour, bref ! Grosso modo tous les verbes des 1er, 2ème et 3ème groupes sont interdits. Ou tellement régulés que tu te dis : « mmm…mouais… mieux vaut pas ! ». Une société où tout se paye. En somme rien de très différent du monde confiné de la ligne 1 du métro.

La première traduction française d'un jeune auteur espagnol. 1 pièce, 7 comédiens, plein de personnages qui peuvent pas dire grand chose mais qui le disent quand même... une douce folie. Shhhhhhhhhh !

Par la Cie Teatro 13. Traduction et adaptation Alexandre Blazy.

• La presse

«  Rythmé, enlevé, sensible et convaincant. » Rue du théâtre

« Un petit bijou. Un spectacle complet. Une farce jubilatoire. » Les Trois Coups

« Une imagination et un sens de l'absurde oxygénants dans une société réglo-déglinguée aux lois aussi glaçantes qu'extravagantes » 20 minutes

« Ils sont très bizarres ! Et ce qu’ils disent – pardon- c’est du dingue ! Du copié/décollé de Kafka ! La règle c’est qu’il n’y en a aucune. Absurde !» Le Point

« Une contre-utopie délurée et délirante » La boîte à sorties

« Rythmé, enlevé, sensible et convaincant. » Rue du théâtre

« Une sorte de bienvenue à Gattacashhh » Culturecie

« Tout simplement succulent » Les-bons-plans.fr

« Une vivacité qui vous tient en haleine. » Plansplan

« Une troupe douée et bourrée d’énergie ! Vraiment jubilatoire. » Froggy’s delight

« Une proposition drôle et politiquement intéressante (et pourtant on ne parlait pas autant d'Edwige à l'époque) » Un soir ou un autre

« Une comédie grinçante, qui a le mérite d'être différente de ce que l'on voit habituellement [avec] quelques bouffées de delirium tremens... Un univers bien décalé à apprécier selon ses plaisirs » Blogculturel

« Absolument IMPOSSIBLE de s'ennuyer ! Une pièce à voir sans faute : vue et vivement conseillée. » Esseclive

« Très proche de l'univers incontesté de 1984 de George Orwell. Une espèce société fliquée à la Kafka empruntant à Edouard Baer et aux Monthy Pythons leur ton délirant et haut en couleur. Un esprit tragi-comique affirmé. » Le p'tit journal

« 1h30 d'un joyeux délire dans l'esprit Los Figaros, éblouissant et mené à un train d'enfer. » Radiocampus Lille