Tout juste diplômée « auxiliaire de vie », Joëlle est engagée comme garde de nuit chez la riche madame Chevalier. La vieille dame se montre odieuse, mais Joëlle est prête à tout pour ne pas perdre sa place. Elle gardera le sourire ! Coûte que coûte ! Soudain, une jeune femme aux abois fait irruption. Qui est-elle ? La vie s’engouffre entre les murs du bel appartement bourgeois, les certitudes bougent… Et la comédie s’emballe.
Au-dessus de la frontière des classes, sur le rythme allègre d’une course contre le temps, de rebondissements en quiproquos, de mensonges en furieuses vérités, âprement, elles jouent leurs vies, ces trois femmes...
« Clotilde Mollet, d'une humanité éblouissante dans ce désert de solitudes que conte Trois femmes et auquel la lumière qu'elle dégage permet étrangement d'échapper. Admirable actrice... » Fabienne Pascaud, Télérama
« Catherine Anne nous plonge dans l'univers de la veillesse, du chômage, du mensonge et du doute. [...] Elle porpose une aventure humaine, sensible, touchante, intelligente et drôle à la fois. » L'Humanité
Trois femmes : trois femmes sont en présence, trois générations, deux classes sociales : Joëlle et Joëlle, mère et fille ; et la vieille Madame Chevalier. L’histoire s’enclenche sur une double coïncidence, un tour de passe-passe familial… Dès lors, chacune joue la comédie : comédie de Joëlle, la fille, pour tenir le rôle sui lui tombe dessus ; comédie de Madame Chevalier pour tromper l’ennui ; comédie de Joëlle la mère pour, quoi qu’il arrive, garder sa place.
Sur le rythme allègre d’une course contre le temps filant, les personnages se débattent, de bondissements en rebondissements, soulevant au passage quelques questions : Qu’est-ce qu’être femme dans le monde du travail ? Qu’est-ce qu’être femme face aux hommes ou à leur absence ? Qu’est-ce qu’être mère ? Qu’est-ce qu’être « à sa place » ? Lorsque Joëlle, fille de Joëlle, saute la frontière de classe pour jouer la petite fille de Madame Chevalier, ça secoue chez les trois femmes, l’idée qu’elle se font du monde et du bonheur.
Catherine Anne
Un trio d actrices au meilleur de leur talent ( C Hiegel mais aussi Clothilde Mollet, remarquable); une pièce à la fois drôle, émouvante et qui donne à réfléchir sur l’ inégalité des chances ou la famille ( naturelle ou choisie), brillamment mise en scène .
Un texte, des situations, une mise en scène, un décor servis par 3 femmes talentueuses.
Trois comédiennes formidables au service d'un texte qui oscille entre le drame et la comédie, bouleversant de sensibilité et de lucidité sur notre époque. Celle-ci est est vue à travers une relation entre trois femmes de trois générations différentes et de deux milieux sociaux diamétralement opposés dans un contexte non amoureux, ce qui est rare au théâtre ou au cinéma. Pas d'histoire d'amour mais beaucoup de turbulences affectives et d'enjeux sociaux voire existentiels puisqu'il est question aussi de chômage, d'argent, de la peur de la compromission, de liens filiaux, de la souffrance de vieillir et de perdre son indépendance, de la mort mais aussi du rêve. Mais, rassurez-vous: le rythme est trépidant et l'oeuvre ne manque pas de quiproquos, de rebondissements et de réparties très drôles. Le décor et la musique sont choisis et orchestrés avec une grande finesse.
Pour 3 Notes
Un trio d actrices au meilleur de leur talent ( C Hiegel mais aussi Clothilde Mollet, remarquable); une pièce à la fois drôle, émouvante et qui donne à réfléchir sur l’ inégalité des chances ou la famille ( naturelle ou choisie), brillamment mise en scène .
Un texte, des situations, une mise en scène, un décor servis par 3 femmes talentueuses.
Trois comédiennes formidables au service d'un texte qui oscille entre le drame et la comédie, bouleversant de sensibilité et de lucidité sur notre époque. Celle-ci est est vue à travers une relation entre trois femmes de trois générations différentes et de deux milieux sociaux diamétralement opposés dans un contexte non amoureux, ce qui est rare au théâtre ou au cinéma. Pas d'histoire d'amour mais beaucoup de turbulences affectives et d'enjeux sociaux voire existentiels puisqu'il est question aussi de chômage, d'argent, de la peur de la compromission, de liens filiaux, de la souffrance de vieillir et de perdre son indépendance, de la mort mais aussi du rêve. Mais, rassurez-vous: le rythme est trépidant et l'oeuvre ne manque pas de quiproquos, de rebondissements et de réparties très drôles. Le décor et la musique sont choisis et orchestrés avec une grande finesse.
5 rue Jean Jaurès 93130 Noisy-le-Sec
Métro Ligne 11, station Mairie des Lilas, puis bus 105, arrêt place Jeanne d’Arc (Mairie) ; ligne 5, arrêt Raymond Queneau, puis bus 145 arrêt Jeanne d’Arc ou arrêt Bobigny – Pablo Picasso, puis bus 301, arrêt Jeanne-d’Arc.
Voiture (prévoir stationnement dans les rues alentours, parking payant à la Gare de Noisy-le-Sec à 8 minutes à pied du théâtre) :
Autoroute A3 de la Porte de Bagnolet vers Lille, 100 m à droite après le panneau Villemonble, suivre la direction Rosny Centre Commercial, puis Noisy-le-Sec Gare. Face à la gare, prendre à gauche la rue Jean-Jaurès. Accès facile à partir de la Porte des Lilas ou de la Porte de Pantin par Romainville.