Un Homme à Prendre / Résonances de Femmes

Paris 10e
le 16 décembre 2002

Un Homme à Prendre / Résonances de Femmes

Deux pièces d'Alberto Lombardo.

Un Homme à Prendre
Résonances de Femmes

Deux pièces d'Alberto Lombardo.

Synopsis
Extraits
Extraits de presse

Un monologue d’Alberto Lombardo
Mise en scène: Myriam Aadli et Martine Merri
Avec: Alberto Lombardo

Synopsis

Octave, 36 ans, versatile et idéaliste, est demandé en mariage par sa partenaire du moment. Tiraillé entre son désir d’indépendance et son besoin de reconnaissance sociale, il raconte, à grands coups d’humour et de dérision, ses expériences avec les femmes. À travers elles, entre confession et fantasme, il se regarde, s’apprécie et excite le mâle qui se trouve en lui. Son attitude féroce et provocante nous saisit par sa lucidité et nous trouble par sa légèreté. Entre la peur du vide et l’inconstance, l’égoïste deviendra meurtrier.

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Extraits

1 - Mon Dieu ! Qu'est-ce qu'elles ont toutes à me poursuivre ? Je suis damné. Quand j'étais collégien déjà elles me mettaient le grappin dessus. Je me souviens de notre voisine de palier, Madame Lambert, une femme mariée, la quarantaine. Tous les soirs elle m'épiait quand je rentrais de l'école. J'avais à peine mis la clé dans la serrure que déjà elle ouvrait sa porte.

- Ah !… mais c'est mon petit Octave qui revient de l'école. Ta maman n'est pas encore rentrée ? 

Et moi comme un gros niais de lui répondre : Non Madame.

- Madame ! madame ! qu'il est chou appelle-moi Arlette voyons depuis le temps ! Ta mère et moi on se connaît depuis bien avant que tu ne viennes au monde. Alors tu vois ?… on peut se permettre des familiarités tout de même. Ça te ferait plaisir de venir prendre le thé à la maison mon mari ne rentre qu'à huit heures ?

Et moi toujours aussi niais et qui avait horreur du thé à l'époque, je refusais. En prétextant que j'avais beaucoup de travail. Et le pire c'est que je refusais uniquement à cause du thé. C’est-à-dire que si elle m'avait proposé du chocolat, j'y serais allé. Je ne me doutais même pas que le sachet de thé ressemblait à une vieille cochonne qui voulait se soulager. J'aurais mieux fait d'accepter, ça m'aurait dégoûté à jamais de toute cette mascarade sentimentale.

2 - Tout à coup je lui prends la main, je me mets à lui dire des choses, des choses que je n'ai jamais dites à aucune autre femme. Je lui dis que j'ai envie d'elle, que c'est purement sexuel ! Que c'est la première fois que ça m'arrive d'avoir une envie aussi spontanée. Que d'habitude j'ai toujours besoin d'un temps d'adaptation. Que ça m'étonne moi-même parce qu'elle n'est pas du tout mon genre. Je lui précise aussi qu'il n'est pas question d'amour entre nous, que de toute façon je suis déjà pris. Elle me dit qu'elle aussi... Ah !... Mais que je ressens un certain désir pour elle. Quelque chose de bestialement physique ! elle me dit qu'elle aussi... Oh !... Que ce qui m'excite c'est la possibilité que j'entrevoie de forniquer avec elle dans des lieux publics. Là elle me demande d'être plus explicite parce qu'elle n'est pas sûre d'avoir tout saisi.

Je pense que c'est le terme de forniquer qui la met dans l'embarras.

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Extraits de presse

" Cette chronique d’une dérive intime se reçoit comme un coup au cœur.Ce monologue âpre et cocasse démonte habilement les mécanismes insidieux de l’oppression sexuelle et sociale, les méandres sinueux de l’introspection.Tout est intensément pensé et superbement mis en œuvre pour faire passer les failles, les vertiges et les contradictions de l’humain, les frémissements infinis de la vie: de la mise en scène au scalpel de Myriam Aadli, où se lit tout le chaos d’une âme fracassée, à l’interprétation saisissante d’Alberto Lombardo, habile à disséquer les blessures et motifs secrets du personnage.Faux semblants, douleurs intimes et confidences sexuelles, propos ambitieux, on retrouve ici la patte de ce jeune auteur prometteur.Intelligent, troublant et excitant, Un Homme à Prendre nous propose une heure dix d’aventures épiques et de cruelle dérision. Une véritable plongée dans le bouillon de la vie. On prend, sans hésitation. " Myriem Hajoui - A Nous Paris

" Un dégoût fascinant… Bien dirigé par Myriam Aadli, le bonhomme interprète lui-même son personnage. Il est fascinant de veulerie, de petitesse, de dégoût… Ce spectacle est très bon, mais il faut avoir le cœur solide. Ou pas de cœur, ce qui est encore une solution. " Jean-Luc Jeener - Figaroscope

" Seul en scène, Alberto Lombardo reste assis sur sa chaise de supplicié pendant un peu plus d’une heure, racontant avec lucidité et dérision le repentir de ce macho invétéré… Un monologue à l’humour corrosif… Un exercice de style sans filet qui mérite le détour. " Stéphanie Belpêche - Le Journal du Dimanche

" Ecrit et interprété par Alberto Lombardo et mis en scène avec une sobriété percutante par Myriam Aadli, ce texte sonne singulièrement à l’oreille. D’une gravité extrême, il peut aussi faire éclater de rire, un rire salutaire, un exutoire à l’horreur… Surprenant, dérangeant ce spectacle captive avant tout, Alberto Lombardo détenant une force incroyable, tant par les mots et les non dits que par l’interprétation, pour nous happer dans son univers féroce mâtiné de dérision. On y court ! " Caroline Fabre - Paris Boum Boum

" Coup de chapeau !… Une belle création. " Christine Zazial - France Bleu

" C’est l’horreur. Dans toute sa simplicité, sa fascination, ses contradictions… Drôle et féroce… Cet homme à Prendre nous a pris, séduits. Et la mise en scène intelligemment sobre de Myriam Aadli a laissé le public sans armes face à ce condamné à l’amour… Les mots sont acérés à souhait, l’humour salvateur juste ce qu’il faut pour que passe l’âpreté de ce marivaudage. Cet homme à prendre , fascinant de douleur et qui se trompe de victime, fut interprété avec inspiration et justesse par Alberto Lombardo. Le pari fut réussi. On aurait dû le haïr. On a ri. " Gillette Duroure - Le Progès / Saint-Etienne

" Alberto Lombardo tient la scène dans un monologue quelque peu effrayant où il campe un personnage exécrable de façon remarquable. La mise en scène de Myriam Aadli et Martine Merri est parfaite, décortiquant l’homme couche après couche, pour en révéler finalement sa férocité et le vide de son être dans lequel le jette sa dispersion. " Isabelle Beziat - LeProgrès / Le Puy-en-Velay

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8 monologues d’Alberto Lombardo

Avec: Françoise Arthaud 
Cathy Nouchi 
Heike Pfeiffer
Véronique Rodier

Synopsis

8 récits de femmes en prise avec le mâle. Rejetées, trompées, dociles ou rebelles, elles nous livrent avec dérision, humour ou sans ménagement tous les mots qui résonnent en elles. Témoignages unilatéraux et implacables de ce qui sépare l’homme de la femme.

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Extraits

1- Il m’a dit que c’était fini nous deux 
interprété par Véronique Rodier et Cathy Nouchi 

On n'est plus des enfants, soyons sérieux, on est fait pour vivre ensemble tous les deux, c'est évident. En ce moment, tu veux prendre un peu de distance, tu as besoin d'y voir plus clair, ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde tu sais. Mais ce n'est pas une raison pour tout envoyer promener. On est des êtres responsables, on peut s'expliquer. 
Ça ne date pas d'aujourd'hui qu’il me dit, ça existe depuis pas mal de temps déjà,
qu’il a tout fait pour évacuer ce malaise de son esprit mais qu’il a eu beau faire, qu’il était toujours là. Qu’il est toujours là. 
Malaise. Evacuer. Des mots troublants, des mots qui doivent en cacher d'autres.

2- Qu’est-ce que j’y peux ? 
interprété par Cathy Nouchi

Cette nuit, j’ai refait tout le trajet dans ma tête. Quelque chose doit m’échapper. Parce que dans notre histoire, je n’ai rien remarqué qui ne tourne pas rond. Il doit y avoir une raison mais laquelle. Non ! Ne dis rien. Ce n’est pas vraiment une question. Et puis la réponse, tu ne peux pas me la donner. Forcément, elle ne me satisferait pas. 
Tes bagages sont à la gare ?

3- La chaleur de cet été n’en finit pas de me perdre
interprété par Françoise Arthaud

J'étais venue lui dire les mots fin ou fini ou les deux, les mots seule et ailleurs, les mots plus non jamais, les mots moi et réalisation, oui des mots longs aussi, le mot être, d'autres plus forts encore, exaspération, dégoût ou presque, ou dégoût sans le presque, ça je ne l'avais pas encore bien réglé, je m'étais laissé une petite part de liberté, je l'aurais décidé au dernier moment, mais je crois que j'aurais pu dire dégoût tout court. 
Et d'autres mots encore. Des tas.

4- Je me réserve une existence de prix 
interprété par Véronique Rodier

Ma toute petite à moi elle est morte cette nuit, je lui dis. Toute la nuit elle a crié, elle suait, elle était toute trempée. Papa papa elle criait, je suis là je lui répondais. Je ne suis pas son père, mais je disais tout de même je suis là. Elle me regardait vaguement et puis elle se détournait papa papa papa. Je la caressais, je lui versais de l'eau sur son visage ; sur tout son corps. Elle était chaude, mais chaude mon Dieu ! qu'est-ce que je pouvais faire.
J'appelle le médecin. Mais c'est si long la nuit. J'attends, j'attends.
Elle s'est calmée. Elle semble dormir. Ma main serre toujours sa main. Je chante n'importe quoi, des berceuses, et n'importe quoi d'autre. Elle dort et le médecin arrive.

5- Je me contracte 
interprété par Françoise Arthaud

Il est sur moi ; je n’avais pas fait attention. On dirait qu’il veut m’embrasser, je crains qu’il veuille m’embrasser. Ah non ! Je me suis trompée. Il préfère me pénétrer. J’ai envie de rire, c’est nerveux. Je serre les poings.

6- Ça ne va pas tarder à s’endormir
interprété en allemand puis en français par Heike Pfeiffer

Je fais des gestes, toujours les mêmes. D’abord j’embrasse. Quelques tours de langues. Trente secondes. Ensuite je regarde le visage en souriant légèrement, suffisamment pour montrer que je suis encore amoureuse, même après tout ce temps. Sans jamais quitter des yeux le visage je glisse ma main gauche le long du corps. Jusqu’au sexe. En général quand j’arrive il est déjà raide. Je fais toujours beaucoup d’effet.

7- Ses caresses étaient douces 
interprété par Françoise Arthaud

Il avait des doigts longs, fins, effilés ; le pouce aussi. Tout chez lui était long, fin, subtil, généreux. Il me faisait prendre conscience de mon corps comme jamais personne ne l’avait fait et ne le fera plus jamais. Notre coït était si puissant, intense, exceptionnel, que lorsque nous en revenions, nous restions parfois des heures, abasourdis, terrassés sur le lit, déprimés, comme ces voyageurs qui reviennent du fin fond de ces pays merveilleux où tout n’est que bonté et douceur, et qui doivent reprendre contact avec la civilisation.

8- Elle dit qu’elle est heureuse 
interprété par Cathy Nouchi et Véronique Rodier.

L’avantage dans ce genre d’endroit c’est que les loyers sont peu chers. Mais ce n’est pas pour cette raison qu’elle habite si loin. Non ! l’argent, le loyer, le salaire, c’est malheureux à dire mais elle s’en moque. Elle est différente de ses collègues en ça, d’ailleurs elle sait bien qu’elle est différente puisqu’elle n’a pas ce qu’ils ont, elle ne court pas après ce qu’ils convoitent, eux, les propriétaires de pavillons de vraies banlieues. Non, elle habite si loin pour une autre raison ; c’est prémédité, c’est calculé, c’est désiré.

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Françoise Arthaud

Après avoir suivi une formation théâtrale au Théâtre du Soleil et à l’école Tania Balachova, Françoise Arthaud a joué notamment dans Electre de Giraudoux, mise en scène de Sissia Buggy, Le legs de Marivaux, mise en scène de Sophie Vassali, Narcisse de Paul Valéry, mise en scène de Louis Latourre, l’insurgé de Jules Vallès, mise en scène de Daniel Krellenstein, Les Aïeux de Mickiewicz, mise en scène de Elisabeth Czevczuk, Longtemps nous nous sommes réveillés avec un mal de crâne d’Alberto lombardo. Dernièrement, elle a joué et mis en scène Une grande période de douceur d’Ivane Daoudi.

Cathy Nouchi 

Après avoir suivi une formation théâtrale au conservatoire d’art dramatique du XV° à Paris et au studio Pygmalion, elle travaille avec différentes compagnies et joue dans Antigone d’Anouilh, L’état de siège de Camus, Le dindon de Feydeau, Le triomphe de l’amour de Marivaux, Dérives sur un terrain vague d’Alberto Lombardo, Seuls les pinsons naissent en riant de Julie Edin et récemment dans Faux Départs d’Alberto Lombardo. Elle a tourné également dans plusieurs courts-métrages et possède une expérience de Clown. Depuis quelques années, elle travaille parallèlement avec de nombreuses compagnies d’improvisation théâtrale. 

Véronique Rodier

Après avoir suivi sa formation théâtrale tour à tour avec Yves Pignot, Niels Arestrup et Jean-Paul Denizon, ainsi qu’un stage dirigé par Philippe Hotier : “ De l’acteur au clown ”, Véronique Rodier est ensuite à l’origine d’un spectacle de chansons avec Les indispensables Bubble gum et après avoir interprété le rôle de Monique dans Faux Départs d’Alberto Lombardo, elle crée avec Géraldine Montaclair la compagnie Les Profit’n rolls et joue dans différents spectacles dont Femmes en désordre, C’est pas moi, c’est elle et Rêves de… 

Heike Pfeiffer

Après des études d’art dramatique à l’école Supérieure de théâtre “ Hans Otto ” à Leipzig où elle obtient son diplôme national de comédienne, elle travaille au Staatsschaupiel Dresden dans plusieurs pièces mises en scène par Mathias Nagatis et Hasko Weber, entre autre ; au Théâtre d’Erfurt avec Peter Rein, Anne Hoffmann ; au Neues Theater Halle avec Hella Müller, au Tränenpalast Berlin avec la compagnie Provinz Theater Kosmos et participe aux rencontres théâtrales de Berlin. Prochainement, elle jouera dans “ La Ronde ” de Schnitzler mise en scène par Lester Mc Nut .

Myriam Aadli

Myriam Aadli a suivi parallèlement une formation cinématographique à l’ESSEC et une formation théâtrale au cours Simon à Paris.

Rencontres avec François Tardy, Sidney Pollack et Jack Waltzer.

Collaboration d’écriture avec Laurent Nodinot sur la pièce Shioban Hunter, star du X.

Depuis quelques années elle est la complice d’Alberto Lombardo dans le travail de mise en scène de ses textes. Elle a collaboré à la mise en scène de Longtemps nous nous sommes réveillés avec un mal de crâne et a mis en scène Faux Départs, pièce présentée à l’Aktéon Théâtre à Paris du 4 février au 9 mars 2002.

Martine Merri

Martine Merri a été attachée (51/54) en tant que comédienne à la compagnie fondée par Claude Martin “ Les pavés de Paris ” ; puis au Théâtre de la comédie et au Théâtre de la Cité (54/59) dirigés par Roger Planchon; Elle joue et met en scène dans la compagnie du Sud Est (60/61) dirigée par Jean Arnulf et Martine Merri ; Elle est ensuite attachée au Centre Dramatique de Bourgogne (61/72) dirigé par Jacques Fornier. Durant cette période elle écrit, met en scène et joue “ Le pépé mes amours ” , elle adapte pour la télévision “ Gulliver ” et “ Pinocchio ” et joue au Théâtre National de Strasbourg. Elle retrouve à nouveau (75/76) Roger Planchon au TNP. Enfin elle est attachée au Théâtre du Rocher (78/79) sous la direction de C.Gattegno. 

Depuis, Martine Merri vit en lointaine campagne, heureuse et accomplie et c’est parce qu’elle est touchée par le texte de Lombardo qu’elle accepte d’apporter un second souffle à ce spectacle.

L’AUTEUR 

Alberto Lombardo a suivi sa formation théâtrale au conservatoire d’art dramatique de Lyon et aux Ateliers Antoine Vitez au Théâtre National de Chaillot.

Travail avec Catherine Anne, René Loyon, Bruno Sachel, Jean-Paul Denizon et François Tardy.

A joué dans les pièces de Catherine Anne, de Marivaux, d’Edouardo Manet et d’Alberto Lombardo.

Après L’air de rien, une adaptation théâtrale de A la recherche du temps perdu de Marcel Proust sur la relation Albertine-Marcel, présentée à Confluences-Paris en 1988 - Pièce récemment retravaillée par l’auteur et re-baptisée Un amour de Marcel - Alberto Lombardo écrit ses propres pièces :

Dérives sur un terrain vague (1993) mise en scène par l’auteur (compagnie L’EXIT) et jouée à L’Aktéon Théâtre-Paris de mars à mai et au Théâtre de la grille verte (octobre 1994) à Saint-Étienne. Pièce à six personnages traduite en allemand par Klaus Grünau, sous le titre Niemandslandpartien et présentée au Théâtre national de Karlsrhue (1996).

Un parfum de Montgolfière (1998), pièce à deux personnages mise en scène par Dana Burns Westberg (compagnie le Horla) et jouée de janvier à mai au Théâtre des 3 Bornes à Paris. Pièce qui sera jouée prochainement (avril/juin 2003) au Théâtre Clavel à Paris, dans sa version longue.

Longtemps nous nous sommes réveillés avec un mal de crâne (2000), pièce à quatre personnages mise en scène par Myriam Aadli (compagnie L’EXIT) et jouée de mars à mai au Théâtre des 3 Bornes à Paris et au Chok Théâtre à Saint-Étienne en mai 2001. 

Un homme à Prendre (2001) monologue pour un homme mis en scène par Myriam Aadli (compagnie L’EXIT) et créé à l’Aktéon Théâtre à Paris du 2 au 21 avril 2001 puis joué en mai au Chok Théâtre à Saint-Étienne, au Magasin Théâtre pendant le festival d’Avignon, du 6 au 28 juillet 2001 et au Carré Davidson à Tours du 24 au 26 janvier 2002 et au Théâtre du Mayapo au Puy-en-Velay les 3 et 4 mai 2002, dans sa nouvelle vision, orchestrée par Martine Merri.

Faux Départs (2002) pièce à six personnages, mise en scène par Myriam Aadli (compagnie L’EXIT) et créée à l’Aktéon Théâtre à Paris du 4 février au 9 mars 2002.

Résonances de femmes (2002), 8 monologues de femmes en prise avec le mâle, créés le 16 décembre 2002 au Théâtre du Gymnase.

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Informations pratiques

Gymnase Marie Bell

38, boulevard de Bonne Nouvelle 75010 Paris

À l'italienne Accès handicapé (sous conditions) Bar Grands boulevards Restaurant
  • Métro : Bonne Nouvelle à 19 m, Sentier à 362 m, Strasbourg - Saint-Denis à 387 m
  • Bus : Poissonnière - Bonne Nouvelle à 59 m, Grands Boulevards à 338 m
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Plan d’accès

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38, boulevard de Bonne Nouvelle 75010 Paris
Spectacle terminé depuis le lundi 16 décembre 2002

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