Quatre filles, quatre histoires, quatre villes. À travers quatre contes fantastiques, Villes Mortes raconte comment la mort survient dans nos vies et nous bouleverse pour toujours.
Quatre filles, quatre histoires, quatre villes. À travers quatre contes fantastiques, Villes Mortes raconte comment la mort survient dans nos vies et nous bouleverse pour toujours. Pour survivre, les quatre filles-villes inventent des mondes : Pompéi fait l’amour aux volcans, Gagnonville donne vie aux personnages de série-télé, Dix30 abat le capitalisme d’une balle en pleine tête et Kandahar solutionne l’horreur de la guerre par un souhait magique. Tout en vivant des drames personnels, les quatre héroïnes évoluent dans une réalité alternative peuplée de fantômes, de princesses et de zombies. L’extraordinaire se mêle alors au quotidien et des mondes s’inventent.
Sarah Berthiaume écrit Villes Mortes en 2010, alors qu’elle a 27 ans, mon âge lorsque je découvre son texte et celui de l’intégralité de ma distribution. Je vois dans ce demi-hasard une certitude : Villes Mortes est une pièce générationnelle. Elle évoque le passage à l’âge adulte et l’état d’entre-deux qui l’accompagne. Coincée entre la fille et la femme, faire des choix est angoissant car décisif, grisant car marqueur d’une nouvelle ère. Quels choix nous rendent femme ? Et dans cet âge bâtard, où on peine a utant à faire le bilan qu’à se projeter dans l’avenir, la frénésie de la vie ne finirait-elle pas par nous conduire à une individuelle inaction ? La prise de décision crée un sentiment paradoxal de puissante solitude et c’est aussi de cela dont nous parle Villes Mortes : La solitude d’une génération.
Noémie Richard
Il n'y a pas que les villes qui disparaissent dans cette pièce, mais également les sentiments et même les êtres. J'ai été plus touchée par la ville minière qui était, de fait, la plus crédible en ayant des résonnances véridiques. Les jeunes comédiens apportent toute leur vitalité dans ses histoires parfois bien étranges.
J'ai apprécié le jeu impliqué, investi des jeunes comédiennes(la séquence gagnonville) mais je ne suis pas fan de l'écriture contemporaine d'un genre nouveau et encore moins de la mise en scène bâche ou carton),de la musique electro et j'ai infiniment de mal avec cette gestuelle du corps qui ne fait passer aucune émotion, ou la diction est lettre morte...Bref je suis classique et je le reste!
Pour 2 Notes
Il n'y a pas que les villes qui disparaissent dans cette pièce, mais également les sentiments et même les êtres. J'ai été plus touchée par la ville minière qui était, de fait, la plus crédible en ayant des résonnances véridiques. Les jeunes comédiens apportent toute leur vitalité dans ses histoires parfois bien étranges.
J'ai apprécié le jeu impliqué, investi des jeunes comédiennes(la séquence gagnonville) mais je ne suis pas fan de l'écriture contemporaine d'un genre nouveau et encore moins de la mise en scène bâche ou carton),de la musique electro et j'ai infiniment de mal avec cette gestuelle du corps qui ne fait passer aucune émotion, ou la diction est lettre morte...Bref je suis classique et je le reste!
3, rue des Déchargeurs 75001 Paris