Thomas Lebrun et ses interprètes s’inspirent librement d’Hiroshima mon amour, de leurs rencontres avec les hibakushas (les victimes des bombardements atomiques), de leur immersion dans cette ville d’aujourd’hui, pour interroger la transformation et l’effacement de la mémoire, et porter un regard aigu sur notre monde.

A l’occasion de la présentation de sa nouvelle pièce le Cercle, Nacera Belaza propose un parcours choisi dans son répertoire à travers une suite chorégraphique composée de trois pièces portées par un à cinq interprètes. En outre, en intermède à ces deux programmes, la chorégraphe invite le public à participer à une Procession ouverte à tous. Un univers au pouvoir de fascination durable.

Une déclaration d'amour à la danse, avant qu'elle ne disparaisse, essentielle à chacun des douze interprètes de Thomas Lebrun, dont Odile Azagury et Daniel Larrieu.

Lied Ballet du chorégraphe Thomas Lebrun s’annonce comme une réflexion sur les codes du ballet. Considérant le plaisir de danser comme moteur de la création, Thomas Lebrun fait de son spectacle une variation virtuose. Avec le ténor Benjamin Alunni et le pianiste Thomas Besnard. Création musicale de David François Moreau.

Trois décennies d’amour cerné est une pièce composée de trois soli et d’un duo, en liaisons, en continu, en transmissions, en dissonances, en contradictions, sur l’apparition et l’évolution du Sida. Dans le cadre des Rencontre Chorégraphiques 2013.

C’est par-delà l’invisible que le talentueux chorégraphe crayonne pour nous la vision furtive de ses mondes intérieurs. En collaboration avec la danseuse Anne-Sophie Lancelin et le créateur sonore Alain Mahé. Un tableau vivant à partager.

Puisant dans le romantisme de Franz Schubert, La jeune fille et la mort est une méditation tout en mouvement. Et la première invitation de Thomas Lebrun à Chaillot.

Le Cabaret des Signes est un acte artistique, créatif et politique . Cette fois, c'est Thomas Lebrun qui a accepté l'invitation. Il convie ses complices danseurs, musiciens, plasticiens et vidéastes pour créer trois soirées uniques, où le public sera à la fois spectateur et danseur puisque chacune se terminera par un bal.

Daniel Dobbels traduit pour nous la pensée par le corps, pour dire l'indicible qui dépasse les mots et écrire, avec des mouvements d'une "suffocante douceur", la déchirure de l'holocauste.