Josef Nadj est né en 1957 à Kanjiza, en Vojvodine, (ex Yougoslavie). Il fréquente les Beaux Arts et l’Université de Budapest où il étudie l’histoire de l’Art et de la musique. Il entreprend un peu par hasard de suivre des cours de théâtre sans abandonner la pratique des arts martiaux. Sur les conseils de son maître, il quitte Budapest pour Paris où il débarque en 1980. Il suit des cours à l’Ecole Internationale de Mimodrame de Marcel Marceau de 1980 à 1982, puis de 82 à 83, à l’école d’Etienne Decroux. Parallèlement il prend des cours de danse avec Yves Cassati, Larri Leong ainsi que quelques artistes japonais.
Il suit des cours à l’Ecole Internationale de Mimodrame de Marcel Marceau de 1980 à 1982, puis de 82 à 83, à l’école d’Etienne Decroux. Parallèlement il prend des cours de danse avec Yves Cassati, Larri Leong ainsi que quelques artistes japonais. Il découvre les univers chorégraphiques de Sidonie Rochon, François Verret, Mark Tompkins et Catherine Diverres et participe ainsi à leurs créations : Papier froissé de Sidonie Rochon, Trahison man de Mark Tompkins, L’arbitre des élégances de Catherine Diverres, Illusion Comique et La (commande du GRCOP) de François Verret.
En 1987, il crée au Théâtre de la Bastille Canard Pékinois, inspiré des souvenirs de son village natal. Ce premier spectacle met en exergue la dualité d’un travail mêlant théâtre et danse. Il deviendra sa carte de visite en posant les jalons d’une œuvre internationalement reconnue.
En 1988, il crée Sept Peaux de rhinocéros, puis en 1989 La Mort de l’Empereur, en 1990 Comedia tempio, en 1992 Les échelles d’Orphée, en 1994 Woyzeck et L’Anatomie du Fauve, en 1995 Le Cri du Caméléon pour le Centre National des Arts du Cirque, en 1996, reprise d’une nouvelle version de Woyzeck, création des Commentaires d’Habacuc, en 1997 Le Vent dans le sac, en 1999 Petit Psaume du matin et Les Veilleurs et Le Temps du repli.
En 2001, il crée Les Philosophes, en 2002 Journal d'un inconnu, en 2004 Poussière de soleils, en 2005 Paysage après l'orage et Last Landscape, en 2006 Asobu et Paso Doble, en 2009 Entracte, en 2010 Sho-Bo-Gen-Zo, en 2011 Cherry-Brandy et en 2013 ATEM le souffle.
" Depuis que j’ai découvert que l’homme qui monte sur les planches d’un théâtre crée un paradoxe, un mystère qui reste indéchiffrable, moi-même je me suis accosté à cet espace. Mais qu’est ce qui m’intéresse dans cet espace-là ? Le rapport subtile qui se créé entre les corps vivants. L’image du corps. D’abord l’image mais pas au sens pictural, l’image qui se créé à partir d’une sensibilité purement corporelle, laquelle souvent résulte de situations ambiguës, d’une certaine pensée voilée. Mais de quelles profondeurs surgissent nos mouvements qui sont capables de créer un langage si familier et si étrange que l’on partage au moment du lever du rideau ? De quoi parle ce langage ? Peut-être d’une certaine vérité qui se cache derrière tous nos masques, tous nos gestes et sur lesquels l’homme plus volontiers garderait le silence. " Josef Nadj
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
MC93, Bobigny
Sept danseurs vont chercher en eux-mêmes les mouvements qui les habitent pour remonter aux sources de la danse.
Maison des métallos, Paris
Huit danseurs du continent africain réunis par le chorégraphe Josef Nadj, pour confronter leurs histoires, leurs imaginaires et témoigner d’une humanité qui reste éveillée face aux défis, aux interrogations et aux peurs qui la traversent. A partir de 14 ans.
Théâtre Jean Arp, Clamart
Pour sa nouvelle création, le chorégraphe hongrois Josef Nadj prête son intemporel costume de scène à ses huit danseurs : tous vêtus de vestes et pantalons noirs, ils reviennent aux origines de la danse.
Lycée Jacques Decour, Paris
Pour sa nouvelle création, le chorégraphe hongrois Josef Nadj prête son intemporel costume de scène à ses huit danseurs : tous vêtus de vestes et pantalons noirs, ils reviennent aux origines de la danse.
MC93, Bobigny
Pour sa nouvelle création, le chorégraphe hongrois Josef Nadj prête son intemporel costume de scène à ses huit danseurs : tous vêtus de vestes et pantalons noirs, ils reviennent aux origines de la danse.
MC93, Bobigny
MC93, Bobigny
Centre culturel irlandais, Paris
Le Centquatre (104), Paris
Parc de la Villette - Grande Halle, Paris