Maxim Emelyanychev et le violon d’Aylen Pritchin pour voyager de Brahms aux plaines du grand nord de Grieg.

Place à la jeunesse avec au pupitre Maxim Emelyanychev et le violon du jeune prodige russe Aylen Pritchin.

Cette soirée sera dédiée à Lars Vogt, directeur musical de l'Orchestre de chambre de Paris, décédé le 5 septembre dernier. Pour le remplacer lors de ce concert, le chef Maxim Emelyanychev, l’un des plus prometteurs de sa génération, a accepté de diriger l’orchestre aux côtés du violoncelliste Sheku Kanneh-Mason.

Un brillant et rare pasticcio constitué d’airs et de cantates de Haendel et une équipe rompue à ce répertoire menée par Franco Fagioli. Opéra chanté en italien, surtitré en français et en anglais.

Le jeune prodige russe du piano et de la direction d’orchestre, Maxim Emelyanychev, dans un programme symphonique.

Joyce DiDonato s’empare de ce rôle de manipulatrice hors pair avec délectation et le talent qu’on lui connaît. Elle est accompagnée notamment de Marie-Nicole Lemieux et Franco Fagioli. Concert chanté en italien, surtitré en français et en anglais.

L'ensemble Il Pomo d'Oro interprète Nisi Dominus de Vivaldi. Avec le contre-ténor Jakub Józef Orlińsk. A la Chapelle Royale.

Le dernier grand chef-d’œuvre d’opéra italien de Haendel. C'est Franco Fagioli qui endosse le costume de Serse et les vocalises de Caffarelli, alors que Vivica Genaux et Francesca Aspromonte l'affrontent avec aisance et délice. Avec Il Pomo d’Oro, direction Maxime Emelyanychev.

Toujours un événement pour ses nombreux admirateurs, ce nouveau récital de la mezzo américaine est consacré au répertoire baroque. Un programme qui mêle astucieusement airs célèbres et raretés. Les personnages lui collent à la peau et elle fait sienne les variations vocales et psychologiques de chacun. Décidément Joyce DiDonato a tout d’une reine !

L’un des ouvrages les plus aboutis de Haendel servi par le duo au sommet qui forme musicalement Karina Gauvin et Marie-Nicole Lemieux. Avec cet ouvrage tragique où s’affrontent amour et pouvoir, Haendel nous prouve une nouvelle fois qu’il est bien l’un des maîtres des passions humaines. Opéra chanté en italien, surtitré en français. Version de concert.