Née en 1971 en Israël, Sharon Eyal danse avec la Batsheva Dance Company pendant plus de 17 ans. Elle a été directrice artistique adjointe de cette compagnie de 2003 à 2004 et chorégraphe en résidence de la compagnie de 2005 à 2012. C’est sa pièce poétique Love, créée en 2003 en Israël, qui lui a permis de percer comme chorégraphe.
La Batsheva Dance Company et le Batsheva Ensemble ont monté plusieurs de ses chorégraphies : You Got to Live, Pan (2001), Ink (2002), Static (2002), Love (2003), After Love (2003), Quiet Village (2004), Part II (2005), Bertolina (2006), Makarova Kabisa (2008), One Leg Barbie (2008) et Killer Pig (2009), Bill (2010) et Too Beaucoup (2011).
Avec sa propre compagnie, L - E - V (coeur en hébreu), fondé en 2013, Sharon et son collaborateur Gai Behar créent des œuvres qui pourrait être autant présentées dans un club de musique techno ou à l’Opéra.
Sharon Eyal a reçu de nombreux prix. En 2008, elle a été sélectionné comme Artiste au sein de la Fondation culturelle d’excellence d’Israël.
Opéra Garnier, Paris
Sharon Eyal revient à Garnier et propose une nouvelle version d'OCD Love, sur pointes, pour les interprètes de l'Opéra. Cette recréation est accompagnée d'Appartement de Mats Ek, où le chorégraphe suédois mélange les styles dans une danse énergique qu’épouse la musique percutante de Fleshquartet.
Espace 1789, Saint-Ouen
Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !
Théâtre du Châtelet, Paris
Trois œuvres où les corps des danseurs sont sollicités, parfois jusqu’à l’épuisement. Au programme, des chorégraphies de Sharon Eyal, Aszure Barton et Sidi Larbi Cherkaoui.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Honneur aux pas de deux contemporains par le « gratin » des chorégraphes de la danse mondiale.
Théâtre de la Ville-Sarah Bernhardt, Paris
Une célébration de l’énergie du corps en mouvement, au coeur de deux écritures majeures, l’une solaire, l’autre enfievrée.
Théâtre du Rond-Point, Paris
Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !
Le Centquatre (104), Paris
Dernier volet de la trilogie chorégraphique de Sharon Eyal, après OCD Love et Love Chapter 2. Un voyage intense et enivrant à travers les hauts et les bas des relations humaines.
Espace 1789, Saint-Ouen
L-E-V Dance Company présente sa création OCD Love. Ce spectacle parle d’amour, de l’amour qui nous manque constamment ou des amoureux qui ne cessent de se manquer. Une désynchronisation, comme par exemple quand une personne se couche et l’autre se lève. Comme quelque chose de plein et entier mais avec plein de trous. C’est un travail sur les trous.
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
Dernier volet de la trilogie chorégraphique de Sharon Eyal, après OCD Love et Love Chapter 2. Un voyage intense et enivrant à travers les hauts et les bas des relations humaines.
Parc de la Villette - Grande Halle, Paris
Un double programme de danse ultra physique. Par la GöteborgsOperans Danskompani, direction Katrín Hall.
Opéra Garnier, Paris
Un air de Russie parcourt cette soirée de danse, qui mêle deux grands classiques du répertoire et une création.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Une soirée danse de rêve avec le « gratin » des chorégraphes les plus en vue du moment.
Lycée Jacques Decour, Paris
Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
L-E-V Dance Company présente sa création OCD Love. Ce spectacle parle d’amour, de l’amour qui nous manque constamment ou des amoureux qui ne cessent de se manquer. Une désynchronisation, comme par exemple quand une personne se couche et l’autre se lève. Comme quelque chose de plein et entier mais avec plein de trous. C’est un travail sur les trous.