À la tête du Ballet national de Marseille, le collectif (La)Horde présente un programme consacré
à quatre femmes chorégraphes, quatre écritures originales et presque autant de générations. Ce voyage à travers la danse d’aujourd’hui fait des étincelles !

Tânia Carvalho s’est hissée au rang d’une chorégraphe de plus en plus demandée par les grandes compagnies de répertoire. Le titre de cette nouvelle pièce, sonne comme une célébration de nos émotions. Une déclaration de vie, en cette période troublée.

En une même soirée, le prestigieux Ballet national du Portugal présente un double plateau avec des chorégraphes de premier plan : Tânia Carvalho et Marco da Silva Ferreira. Avec le Théâtre de la Ville dans le cadre de la saison France-Portugal

François Chaignaud et Tania Carvalho, deux chorégraphes aux univers très affirmés, rencontrent les interprètes d’une compagnie pionnière de la danse inclusive. Une soirée qui déplace les regards.

Un concert insolite qui déborde de créativité : tous les talents d’une artiste protéiforme.

La chorégraphe Tânia Carvalho pense en mouvements, empruntant au théâtre, au mime au cinéma ou à la peinture un vocabulaire transdisciplinaire pour raconter son univers, dense et passionnant.

Le Ballet de l’Opéra de Lyon, sous la direction artistique de Yorgos Loukos, s’affirme comme la compagnie de répertoire incontestable du paysage français. De Lucy Guerin à William Forsythe, en passant par Emanuel Gat et Tânia Carvalho, un véritable observatoire de l’art chorégraphique.

Présente l’année dernière aux Rencontres chorégraphiques avec sa pièce Icosahedron, Tânia Carvalho offre avec 27 OS une pièce pour trois danseurs et une pianiste totalement nouvelle. Au son du piano, la chorégraphe explore l’intime, le poids du passé de tout un chacun tel un fantôme qui nous suit, constitué de nos références, de ce que nous avons accompli, mémoire de tous nos mouvements.

L'icosaèdre est une figure géométrique complexe – un solide en trois dimensions comprenant vingt faces égales, dont les bases sont composées de cinq triangles équilatéraux. Pour cette création, Tânia Carvalho a utilisé les différentes facettes de cette figure comme principe de composition, mettant le corps à l'épreuve d'une abstraction. Jouant sur le rapport entre volume et surface, faces visibles et faces cachées, multiplication des points de vue et unité de la structure, elle propose une expérience de construction évolutive, démultipliant les cadres de la perception.

Une étude fascinante et énigmatique des dynamiques qui unissent la musique à la danse, et réciproquement.