Antigone

du 7 au 20 janvier 2002
1H30

Antigone

Derrière Antigone, se dessinent les silhouettes des résistantes d’hier et d’aujourd’hui, des « folles de la place de mai » et des mères des soldats tombés sur les fronts de Bosnie, du Kosovo ou de Tchétchènie. Chaque fois, des femmes se révoltent contre des guerres aux motifs obscurs excités par la so
  • La presse

Bouleversant
Antigone avait marqué la saison culturelle par la rigueur et le souffle épique de la mise en scène de Gilles Chavassieux. Les résistantes : derrière Antigone, se dessinent les silhouettes des résistantes d’hier et d’aujourd’hui, des « folles de la place de mai » et des mères des soldats tombés sur les fronts de Bosnie, du Kosovo ou de Tchétchènie. Chaque fois, des femmes se révoltent contre des guerres aux motifs obscurs excités par la soif d’un pouvoir solitaire et paranoïaque, symbolisé ici par Créon, qui se nourrit de la terreur.
Pudique, respectueuse du texte dont elle souligne les moindres inflexions, la mise en scène met en perspective le message de paix et de tolérance qui traverse cette pièce. (…) Sophie Cattani retrouve le personnage d’Antigone, un rôle à la mesure d’un immense talent forgé à l’Ensatt. En face d’elle, Jean-Vincent Brisa donne chair à Créon dont il dévoile la lâcheté et les contradictions au fur et à mesure que les événements lui échappent. Le reste de la distribution, où Gilles Chavassieux tient lui-même le rôle du devin Tirésias, est à l’unisson du talent de ces deux personnages centraux qui restituent à « Antigone » son caractère mythique et intemporel. »

(Le Progrès – Antonio Mafra – Septembre 2000)

La puissance et la grâceConfessons-le sans vergogne, des frissons de bonheur parcourent notre épiderme. (…)C’est une joute vertigineuse où se mêlent de nombreux personnages. Cette lutte de l’ange et du démon brasse puissamment les thèmes éternels et métaphysiques de la mort, de l’amour familial ou charnel. Les différentes étapes de cette pièce sont composées avec un soin méticuleux qui exacerbe la limpidité et la puissance évocatrice du texte.

(Libération et Lyon Capitale – Nicolas Blondeau – Avril 2000)

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Spectacle terminé depuis le dimanche 20 janvier 2002

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