A partir de 14 ans.
Entrez dans un vide-grenier, chinez, rencontrez Foster le broconteur américain, achetez s'il est d'accord. Ce sont ses souvenirs qu'il vend, cet homme à trous de mémoire. Puis jouez au jeu que son père adoptif lui a appris, à lui et aux autres enfants placés. Dans cette étrange brocante de l'âme, la face cachée des objets se révèle d'une manière aléatoire et unique chaque soir.
« Imaginez la madeleine de Proust posée sur une autoroute américaine, puis écrasée par un camion et réincarnée en chaussette trempée d'essence tapie dans le vide-grenier où vous êtes. Chaque objet apporte une pièce du puzzle de la vie de Foster et vous transporte vers Providence, à travers le prisme macabre et paranoïaque de la culture pop américaine... parfumée de Monty Python. »
Nick Millett
« Le naturalisme est l’une des rares formes théâtrales qui conduisent encore à une suspension consentie de l’incrédulité. L’explosion de l’artifice, la possibilité d’une tranche de vie, l’importance de mettre en scène de façon méticuleuse, d’habiller les scènes à la façon de la vraie vie, d’acteurs qui vivent, qui ne jouent pas – mon travail pousse cette esthétique à l’extrême. La suspension consentie de l’incrédulité est devenue de plus en plus difficile pour les publics de théâtre, à cause de l’empiètement de la culture de masse. »
W. David Hancock, Interview par Erika Munk, Article de Les Arches du temps
« On est chez Elapse, compagnie qui maîtrise l’art d’accoucher les âmes. » La Marianne, Jack Dion.
« On pense à Christian Boltanski ou aux vitrines de Bernard Belluc exposées au Musée des arts modestes à Sète… ambiance poétique et étrange… acteur original et marquant… entre le rire et l’inquiétude… » Par Marie-Do Moracchini, Avignon Off 2015 La Marseilleise.
« L’interprétation est parfaite ! […] Une succession d’interrogations partagées entre délire profond et réalisme incisif. […] Un beau mélange d’audace et d’imagination. »
Eliane Defrance, l’Yonne Républicaine.
« Le spectacle le plus original du festival. » Par Savannah Macé, Avignon le Off 2014 En direct du Off.
« Si vous aimez le théâtre, si vous aimez la mythologie américaine, et si vous aimez les objets qui ont une histoire, n’hésitez pas à aller voir Ark Tattoo, vous découvrirez un univers, vous découvrirez un auteur, et vous découvrirez aussi un sacré interprète. » Michel Flandrin, France Bleu Vaucluse.
« Ambigüe, effrayante parfois, fascinante toujours, et unique (…). L’imagination tourne à plein régime. Frédéric Leconte– La Provence.
« Un art vivant empreint de poésie ». B. Stopin, Le bruit du Off 2015
« Nick Millett met en scène deux spectacles originaux et émouvants qui parlent du temps intime : celui de la construction de soi par le souvenir et celui de la transformation de soi par l’expérience artistique. » Catherine Robert, juillet 2015, La Terrasse.
« Profondément menaçante et extrêmement divertissante. » The New York Times.
« Cette pièce est un prisme de contradictions, un petit bijou de théâtralité. » The guardian.
« Le dramaturge le plus audacieux et provocateur qui a émergé de la scène Off Broadway dans les années 90 ». The village voice.
13, rue Pierre Sémard 94400 Vitry-sur-Seine