Daniel Prévost, accompagné de deux musiciens guitaristes nous raconte en un monologue coloré en rouge et noir sa « mémoire espagnole », nourrie d’éléments de sa propre vie et de textes de Fédérico Garcia Lorca. Le réel enrichit l’imaginaire de Daniel Prévost et inversement. Un spectacle d’émotion et de rêve.
Après un triomphe au Festival d’Avignon, Daniel Prévost présente son spectacle à Paris.
« Ce projet me tenait à cœur depuis l’enfance. J’ai toujours apprécié l’univers poétique de Federico Garcia Lorca, poète espagnol mort en 1936 qui a laissé une œuvre abondante. C’est un hommage que je rends à mon épouse qui m’a toujours encouragé à monter ce projet. »
« Pendant toute ma vie, Frederico Garcia Lorca fut mon compagnon de route, discret, toujours présent et chaleureux. Nul ne peut expliquer pourquoi tel poète ou tel autre laisse en nous-même des traces indélébiles. Moi-même je ne peux expliquer ce mystère. Dans ce spectacle, certes, il y des clés. Mais elles ne suffisent pas pour comprendre la permanence d’un poète en nous. Je me devais de raconter l’histoire, vraie ou inventée, de cette présence. Réalité ou rêve ? Peut-être les deux. Seuls, restent les souvenirs heureux ou malheureux. Mais toujours beaux et sincères. C’est cela qui compte pour moi, plus que tout. »
Daniel Prévost
« Un bouleversant voyage intime. (...) Il chante avec une voix venue de l'âme, brute et brûlante comme un sable d'arène. (...) Le texte montre un homme à nu sous la chemise pourpre, un taureau blessé qui rue contre la fatalité. Le public est saisi. » Pierre Vavasseur, Le Parisien
« Découvrir cette facette d'un Prévost plus grave, poétique, c'est une gageur, une aubaine même, et c'est aussi l'enjeu inavoué de cette pièce très intime. » Alexandra Martin, TGV magazine
« Intime et jamais impudique, poignant dans le sourire comme dans les déchirures, le comédien révèle sa passion, son amour, son obsession pour l’Espagne, son « jardin secret » et ses « rêves intimes »…Il vous cloue sur le siège de son regard, attrape le vôtre avec ses bras berceau de cornes, ses mains pinceaux pour de subtiles arabesques, ses doigts serres de faucons emprisonnant les émotions et faisant saigner les souvenirs. » Midi Libre
« Daniel Prévost, l’homme qui fait rire et grincer la France depuis pas mal de temps, revient sur un passé longtemps « passé sous silence… Dire l’enfance, ce qui le nourrit et ce qui lui fait mal encore, avec quelque chose d’un Modiano dans sa manière d’effleurer les impressions, les souvenirs. Rencontre avec un homme blessé, mais sacrément vivant. » L’Express
« Le spectacle de Daniel Prévost tient du récital de musique, de la récitation poétique - tantôt en français, tantôt en espagnol - et du récit autobiographique : portait en pied d'un amoureux d'un payx, d'un peuple et d'un homme, Federico Garcia Lorca. (...) Pour les spectateurs, la passion est contagieuse. » Macha Séry, Le Monde, 19 février 2009
« Prévost dit la poésie avec grâce et légèreté, chante d'une voix superbe. Un spectacle d'une grande élégance qui met le coeur en joie. » MC Nivière, Pariscope, 25 février 2009
Quelle spectable merveilleux. Je pense que Daniel Prévost nous confirme à quel point sa femme est importante pour lui. Nous ne pouvons que l'aimer, il a su, avec beaucoup de pudeur la rendre visible sur scène. Bravo et bravo aussi à ses deux musiciens gitans extraordinaires, ils nous ont transporté dans un autre monde. Bravo encore
c'est un spectacle émouvant à contre courant de ce qu'on a vu de M Prévost plein de finesse de sensibilité mais finalement la sensibilité on le savait la finesse souvent aussi ne nous avait pas échappé cela surprend et agréablement
Quelle spectable merveilleux. Je pense que Daniel Prévost nous confirme à quel point sa femme est importante pour lui. Nous ne pouvons que l'aimer, il a su, avec beaucoup de pudeur la rendre visible sur scène. Bravo et bravo aussi à ses deux musiciens gitans extraordinaires, ils nous ont transporté dans un autre monde. Bravo encore
c'est un spectacle émouvant à contre courant de ce qu'on a vu de M Prévost plein de finesse de sensibilité mais finalement la sensibilité on le savait la finesse souvent aussi ne nous avait pas échappé cela surprend et agréablement
15, avenue Montaigne 75008 Paris