Dialoguant avec sa conscience, Nathalie Sarraute plonge dans ses souvenirs d’enfance. Une expérience unique d’écriture incarnée !
Dialoguant avec sa conscience, Nathalie Sarraute plonge dans ses souvenirs d’enfance. Dix années d’oscillation entre la France et la Russie, entre une mère parfois froide et distante et un père aimant mais pudique, entre la difficulté et la curiosité d’être, entre clairvoyance et sensibilité… L’écrivain fabrique en direct son double enfantin qui revit sous nos yeux quelques scènes d’un passé romanesque. Une expérience unique d’écriture incarnée !
« Beau texte, assurément, qui est à dire pour comprendre où et comment naît une vocation romanesque. » Télérama sortir
« Interprétés par deux comédiennes hors pair, Anne Plumet (…), Marie-Madeleine Burguet. (…) Un moment de grâce à ne louper sous aucun prétexte… La salle n’a pas boudé son plaisir en réservant, à l’issue du spectacle, une ovation nourrie (…), aux deux comédiennes émues aux larmes! » Sortir à Paris
« Comment vous faire sentir qu’on peut se laisser embarquer par l’évocation d’une petite fille en robe de mousseline qui organise l’enterrement d’une grande graine, plate et noire, une graine de pastèque (…) ? Dits par deux grandes actrices, qui jouent de leurs intonations, de leurs voix, comme d’un instrument de musique, les mots devenaient une mélodie (…). Un beau moment de théâtre, tout de nuances et de sensibilité, qu’apprécieront ceux qui savent se laisser bercer par les mots, (…) qui aiment les textes qui portent et les interprétations qui les servent. » Je n’ai qu’une vie
« Dans une scénographie minimaliste centrée sur le jeu des comédiennes, Tristan Le Doze nous propose une plongée délicate et sensible dans l’enfance (…). Saluons la performance d’Anne Plumet et de Marie-Madeleine Burguet qui assoient avec délice ce magnifique texte de Nathalie Sarraute. » Théâtre.com
« À travers ce monologue intérieur, Nathalie Sarraute livre (…) une autobiographie originale et sans fard. Elle y dévoile ici une obsession essentielle de son œuvre : la recherche pour elle du mot juste, idéal, qui saura traduire, rendre compte au plus près des mouvements intérieurs et leurs sensations qui nous traversent tous. (…) Porté par deux comédiennes exceptionnelles de justesse, de densité et de précision : Anne Plumet, (…) Marie-Madeleine Burguet. » Publik’Art
« Pas de décor dans la mise en scène de Tristan Le Doze, juste deux chaises et le jeu des éclairages qui faiblissent parfois comme les souvenirs qui s’effacent. Deux comédiennes, (…) Anne Plumet (Natacha), (…) Marie-Madeleine Burguet (mère qui se place en arrière plan) (…), toutes deux sont formidables de justesse et de sobriété dans l’expression des émotions. Quand Anne Plumet dit les mots qui concluent le livre (…) le spectateur sent qu’il a rejoint Nathalie Sarraute sur les terres de l’enfance. » Blog Culture du SNES-FSU
« Un moment rare de théâtre littéraire. » Toute la culture
« Adaptation tout en nuances d’Enfance. » La Croix
« Le metteur en scène Tristan Le doze nous avait déjà régalés avec le subtilement hilarant Pour Un Oui Ou Pour Un Non. » Le Canard enchaîné
« Pour dire de petits riens, il faut de grands comédiens. » Arts - Chipels
« Très beau travail où l’écriture au plateau est aussi claire que l’écriture de Nathalie Sarraute. Mon coeur se troubla. » Un fauteuil pour l'orchestre
« Tristan Le Doze, avec Enfance, continue son approche sensible de l’oeuvre de Sarraute. « Ce n’est pas un rapport sur ma vie, mais une sélection des instants dont je pourrai retrouver la sensation. » L’ Humanité
Un père présent, une mère lointaine, des vacances en Suisse etc : l'autrice plonge dans ses souvenirs de manière presque banale, personnelle. Mais, très vite, elle se dirige vers ce qui l'intéresse : la traque du mot juste, seul capable de traduire la subtilité des sentiments. Et, là, on est dans l'universel ! Les deux comédiennes sont extras dans ce merveilleux texte. Mention spéciale à Anne Plumet qui joue Nathalie Sarraute.
Un grand texte porté par deux comédiennes magistrales. Une mise en scène humaine et subtile à l’écoute du texte et des interprètes… Quelle émotion ! C’est bouleversant.
Un grand moment d’émotion avec l’évocation de l’enfance de Nathalie Sarraute où se mêlent tristesses, joies et interrogations merveilleusement interprétée par Anne Plumet, à qui son double, la vive et malicieuse Marie-Madeleine Burguet donne la réplique avec maestria. A voir absolument !
le bonheur n'était pas dan le pré mais à la manufacture dse abbesses avec enfance joué avec sobriété et flamboyance par deux actrices superbes
Pour 4 Notes
Un père présent, une mère lointaine, des vacances en Suisse etc : l'autrice plonge dans ses souvenirs de manière presque banale, personnelle. Mais, très vite, elle se dirige vers ce qui l'intéresse : la traque du mot juste, seul capable de traduire la subtilité des sentiments. Et, là, on est dans l'universel ! Les deux comédiennes sont extras dans ce merveilleux texte. Mention spéciale à Anne Plumet qui joue Nathalie Sarraute.
Un grand texte porté par deux comédiennes magistrales. Une mise en scène humaine et subtile à l’écoute du texte et des interprètes… Quelle émotion ! C’est bouleversant.
Un grand moment d’émotion avec l’évocation de l’enfance de Nathalie Sarraute où se mêlent tristesses, joies et interrogations merveilleusement interprétée par Anne Plumet, à qui son double, la vive et malicieuse Marie-Madeleine Burguet donne la réplique avec maestria. A voir absolument !
le bonheur n'était pas dan le pré mais à la manufacture dse abbesses avec enfance joué avec sobriété et flamboyance par deux actrices superbes
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