Le parti pris de ce seul en scène : dévoiler Rosa Luxemburg dans son intime, une femme tout autant poète que grande révolutionnaire.
La mise en scène de ces lettres est un hommage à l’amour de la vie, au temps qui passe, et dénonce le sort réservé aux personnes dont la réflexion s’oppose à l’opinion de masse.
Son opposition à la dérive guerrière de 1914/1918 a conduit Rosa Luxemburg à un long isolement.
« Mais que pleurons-nous ? Cette amie qu’on rêverait tous d’avoir ? Nos vies ? L’étouffement de nos rêves et de nos sentiments ? Ce que le XXème siècle a fait à l’humanité ? Ce que la politique est devenue ? C’est tout ça, mais c’est aussi l’inverse. On pleure de retrouver ses forces, on pleure d’être rendu à soi-même. C’est comme une contagion heureuse : on aime à nouveau. On voit. » Anouk Grinberg
« L’envie très vite de découvrir l’univers et les préoccupations politiques et spirituelles (les deux termes ne sont pas antinomiques !) de Rosa Luxemburg.
Préoccupations, à bien des égards, proches de notre cheminement d’humains et d’artistes. » Jean-Luc Pérignac
D’après Rosa, la vie, d’Anouk Grinberg et Laure Bernardi.
J'ai beaucoup aimé Beau spectacle La comédienne est lumineuse A voir sans hésitation Bernadette
Un moment de grâce.
J'ai beaucoup aimé Beau spectacle La comédienne est lumineuse A voir sans hésitation Bernadette
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