Everest

Dès 9 ans.

• Une histoire poétique et captivante sur la séparation des parents

La nouvelle création du TNG nous plonge au cœur d’une famille qui va vivre des événements extraordinaires.

Un fils et son père marchent dans une forêt. Le père, mordu par un serpent, envoie son fils cherché de l’aide. Mais le fils se perd et retourne auprès de son père qu’il ne trouve pas. Caché sous une feuille, il est devenu haut comme une cerise. Le choc est grand. À la maison, ils retrouvent la mère, morte d'inquiétude. Ils s’habituent à cette situation extraordinaire…

Il retrouvera sa taille d'homme en se nourrissant des grands textes de la littérature ! Debout sur la table de la cuisine, le père plonge dans les montagnes et son fils tourne les pages.

• La presse en parle

« Un spectacle tout près des sommets. Nino D’Introna met en scène Everest, une pièce de Stéphane Jaubertie qui touche au plus profond jeunes… et moins jeunes. On est touchés et captivés de bout en bout. D’autant que la mise en scène de Nino D’Introna magnifie la poésie de la partition. D’une sobriété qui tient de l’épure, elle offre aux comédiens un cadre d’une grande beauté visuelle et sonore où ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. » Lyon Capitale.fr

« Harmonie des effets et complémentarité des arts scéniques. Nino D’Introna retrouve l’auteur Jaubertie pour une nouvelle création sur le thème de la séparation des parents. Un beau texte, remarquablement servi par une mise en scène fascinante. Everest est un spectacle où l’intelligence, la poésie et la drôlerie du texte sont magnifiées de manière époustouflante par les effets théâtraux. La partition textuelle est subtile et intelligente, et enrobe la douleur dans la ouate de l’humour. Nino D’Introna a imaginé des tableaux successifs qui usent de plusieurs arts scéniques remarquablement agencés : la marionnette, le théâtre d’ombres, le jeu (Cédric Marchal et Angélique Heller excellent dans les rôles du fils et de la mère), la musique et le son (belle suggestivité du travail de Patrick Najean), et les lumières, qui unifient l’ensemble (magnifiques effets d’Andrea Abbatangelo). Tous ces talents, coordonnés de main de maître par Nino D’Introna, composent une féérie captivante qui, sans jamais oblitérer le texte, permet de le faire entendre en intensifiant sa drôlerie et son émotion. À tous égards, Everest est un sommet à recommander aux alpinistes théâtraux, petits et grands ! » La Terrasse

« Livres je vous aime. Avec cette création d’Everest, Nino D’Introna flirte avec les sommets du théâtre jeune public. S’il est vrai que le jeune public doit avoir droit aux mêmes égards que les adultes, le nouveau spectacle du Théâtre Nouvelle Génération séduira les uns et les autres. Sur le plateau du TNG, plongé dans l’obscurité pour escamoter le manipulateur du personnage du père, se dresse une voile, celle de la nef dans laquelle embarque notre Ulysse microscopique. Ajoutons des costumes inspirés d’un extrême orient de science-fiction (Emilie Piat) et nous obtenons une scénographie à la Bob Wilson. À cette esthétique de l’épure fait écho une interprétation qui, au contraire, joue sur la volubilité de Cédric Marchal dans le rôle de l’enfant. Crâne rasé, l’acteur emballe son histoire, parfois avec précipitation. À ses côtés, Angélique Heller joue d’une harpe-table aux sonorités inquiétantes au début du spectacle avant de prendre les traits de la mère. Ils forment un duo inspiré, dirigé avec intelligence par un Nino D’Introna au meilleur de son inspiration. » Le Tout Lyon

« Entre ombre et lumière, entre symboles et réalisme, le conte prend forme dans l’imaginaire de chacun et s’étire progressivement. Que dire encore après un tel choc émotionnel où la poésie teinte en permanence ce spectacle magnifique ? Qu’il est servi par d’admirables interprètes au talent flamboyant, qui nous donnent à voir et à entendre une langue dont la musique bercera encore longtemps nos sens émerveillés d’enfants ou d’adultes. À voir et à revoir pour le plaisir ! » Ouest Lyon Communication