Un déserteur, une perverse et une infanticide entrent en enfer, livrés au jugement impitoyable des deux autres. On s’attend à retrouver sur la scène de Huis clos des monstres, mais ces trois là sont terriblement humains. « L’Enfer…. », c’est Sartre !
Un déserteur, une perverse et une infanticide franchissent le seuil de l’enfer et se retrouvent livrés au jugement impitoyable des deux autres…
Le théâtre reste le lieu unique où l’on peut donner à voir et à entendre un auteur sacralisé, décrié puis oublié ou incompris.
Sartre, tu n’es pas mort !
Pour cela, un parti pris audacieux : adapter Huis clos tout en respectant la trame, la trajectoire, le fil rouge.
Un mot d’ordre : Le minimalisme.
Scène nue, costumes ordinaires, musique contemporaine ponctuant un texte resserré dans une mise en scène détonante où se côtoient grotesque, absurde et tragique.