À cinq ans, Jacob a un coup de foudre pour Céline Dion. Il l’imite à la perfection jusqu’à devenir elle. Dans une maison de repos, il rencontre Philippe, un homme blanc qui s’identifie comme noir ou voudrait être noir. Yasmina Reza présente une fantaisie au sens musical du terme sur l’identité ou la différence – comme on voudra.
Il y a des personnages qui, laissés dans les pages des romans, ne demandent qu’à revivre. C’est le cas de Jacob Hutner que l’on a vu avec ses parents dans un chapitre d’Heureux les heureux de Yasmina Reza qui mélange avec son style singulier mélancolie et humour.
Dans James Brown mettait des bigoudis, Jacob est maintenant dans une maison de repos. Un établissement, on ne sait pas où, mais au milieu d’une nature ordonnée et impavide. Il s’y est fait un ami, Philippe. De même que Jacob se vit en Céline Dion ou voudrait être la chanteuse, Philippe est un homme blanc qui s’identifie comme noir ou voudrait être noir.
On ne connait pas leur degré de déraison, ni même si déraison il y a. De quoi sommes-nous construits ? De qui sommes-nous faits ? On dit qu’aucun être humain ne se construit sans projection et sans modèle. La psychiatre à qui les parents Hutner ont confié leur fils ne cherche pas à ramener les patients à leur définition d’origine. Elle s’emploie à les harmoniser, les rendre aptes à assumer leur émancipation.
Après Anne-Marie la Beauté présenté en 2021 à La Colline, Yasmina Reza propose, avec cette création, une fantaisie au sens musical du terme sur l’identité ou la différence – comme on voudra.
« Du grand art ! » Elle
« Yasmina Reza propose une folie douce et joyeuse. » France Inter
« Une pièce pleine de drôlerie et de mélancolie. » Le Figaro
« Micha Lescot, irrésistible, drôle et touchant. » Les Echos
« Cinq comédiens hors norme. » Télérama
« Yamina Reza crée la surprise avec cette comédie des temps présents. » L'Œil d'Olivier
Le texte est plat, pas assez de brillant, de fantaisie, de percussion ; c'est plutôt laborieux ; mais la mise en scène est plaisante et les interventions musicales excellentes.
Moment léger mais une déception avec des saynètes qui s'enchaînent mais qui peinent à donner une cohérence à la pièce et à nous embarquer.
Distribution magnifique,un texte très intéressant et drôle sur la différence ? Être ou ne pas être ? Un formidable moment...
C’est la déception. De petites scènettes parfois drôle s’enchaînent Des acteurs excellents sont perdus dans un immense décor vide. Comme le texte et le propos.
Pour 5 Notes
Le texte est plat, pas assez de brillant, de fantaisie, de percussion ; c'est plutôt laborieux ; mais la mise en scène est plaisante et les interventions musicales excellentes.
Moment léger mais une déception avec des saynètes qui s'enchaînent mais qui peinent à donner une cohérence à la pièce et à nous embarquer.
Distribution magnifique,un texte très intéressant et drôle sur la différence ? Être ou ne pas être ? Un formidable moment...
C’est la déception. De petites scènettes parfois drôle s’enchaînent Des acteurs excellents sont perdus dans un immense décor vide. Comme le texte et le propos.
Je m'attendais à une pièce avec plus d'humour pour faire passer ces messages sur l'identité d'une façon plus légère. Mais là on n'est que dans la folie sans une vraie histoire qui tient debout.... Où est passé l'auteure de la pièce ART qui était beaucoup plus drole!!!
Avenue de Marigny 75008 Paris