Jérôme Esposito entre sur scène et nous propose de nous raconter la vie d'un quartier. Celui de Lou Souléou, Le soleil. On pourrait s'attendre à des histoire de sardines, de pétanque, de pastis et pourtant non. Même s'il habite à côté des usines Ricard et que Gégé, comme ses amis l'appellent, sera élevé avec l'odeur de l'anis, ce sont des histoires d'un autre Marseille qu'il va nous raconter. Là où il vit, on ne parle plus le provençal, non, mais c'est une véritable tour de Babel, il entend, l'arabe de son voisin, l'espagnol de sa mémé, l'italien de son père, le comorien de son ami, le vietnamien de sa voisine et bien d'autres langues qui sont la richesse de son quartier. C'est au travers de ceux qui l'habitent que Jean Jérôme tente de nous rapprocher de ces cités qui paraissent si loin à bien des français…
« Il y a à la fois du Candide et du Rocky, du cran et de la fougue, du coeur et des couilles, dans l’itinéraire de ce fils de prolos pieds noirs passionné autant par la boxe que par le théâtre… » - La Marseillaise
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