Comédie onirique, enquête loufoque, portrait d’un héritage, La Vie et la mort de Jacques Chirac est le premier volet de la série Huit rois (nos présidents), dont l’ambition est de peindre le portrait théâtral des huit présidents de la Ve République, de Charles de Gaulle à Emmanuel Macron. Dès 14 ans.
Dès 14 ans.
Qui est Jacques Chirac ? Que cache-t-il sous son masque grotesque, conquérant et populaire ? Et en quoi peut-il nous révéler quelque chose de notre démocratie ?
Comédie onirique, enquête loufoque, portrait d’un héritage, La Vie et la mort de Jacques Chirac est le premier volet de la série Huit rois (nos présidents), dont l’ambition est de peindre le portrait théâtral des huit présidents de la Ve République, de Charles de Gaulle à Emmanuel Macron.
« Tout se téléscope dans une accélération dramaturgique vertigineuse dont on ressort étourdis. Mais riches de sujets de réflexion sur notre présent politique » Télérama Sortir TTT
« Prodigieux comédien, Campani connait son Chirac sur le bout des doigts et improvise des séquences avec l’aide du public sur les années phares de sa longue histoire. Folle allégresse. » L’obs
« Cette pièce de Léo Cohen-Paperman décrit avec brio cinquante ans de vie politique française » Le Point
« Épastrouillant, ce spectacle ! Finement écrit, évitant habilement tous les pièges […], il nous montre qui était l’homme, mais aussi le projet politique, mais aussi l’ambiguïté, l’hypocrisie, le masque. C’est à la fois emphatique et cruel, et drolissime, grâce à deux comédiens formidables. » Le Canard enchaîné
« The Life and Death of J. Chirac, King of the French, is the more compelling show […], Campani is impressively convincing in the title role. » The New York Times
« Un portrait sombre et subtil de l'ancien président, qui scrute l'homme derrière l'icône » Marianne
En 1995, j’ai six ans et Jacques Chirac est élu Président de la République. Il file vers l’Elysée à bord de sa Citroën CX - léger, réconcilié, joyeux. De quoi ce souvenir est-il le nom ? Chirac, c’est pour moi - et peut-être pour toute ma génération - l’image de l’enfance et d’une insouciance partagées. Je me rappelle 1995. Le Mur de Berlin était tombé et le monde marchait, nous semblait-il alors, sur deux jambes : à gauche, les Droits de l’Homme et à droite, le libéralisme économique. Le bonheur serait global ou ne serait pas. Rien ne devait résister à ce dernier voyage de la communauté humaine. Le marché, la liberté, le bonheur. Finies les idéologies, les haines, les génocides. Le XXe siècle des catastrophes allait bientôt finir. C’était le début d’une ère nouvelle.
Je rouvre les yeux. Nous sommes en 2020 et le vieux monde s’est réveillé. Les identités redeviennent malheureuses et la mondialisation ne promet plus le bonheur. En 2020, l’Histoire est redevenue tragique. En 2020, Jacques Chirac est mort.
Léo Cohen-Paperman
Un spectacle précis, au ton et à l'humour habiles. Le comédien qui joue Jacques Chirac est remarquable et parfois on s'y tromperait ! Le rythme est peut-être un peu lent sur la deuxième partie du spectacle (mais c'est aussi la vie de l'ancien président qui va en ralentissant). Une belle découverte !
Impressionnante rétrospective J'avais vu la pièce proposée il y a 3 ou 4 ans à la Contrescarpe. Pièce fort bien interprétée et dont le mimétisme avec "le Grand Jacques" se révélait impressionnant. Et bien cette représentation, d'excellente qualité, nous permet non seulement de suivre le parcours politique de "l'animal politique" mais également la transformation visuelle du comédien, très convaincante, on frôle le mimétisme. N'oublions, surtout pas son compère donnant vie à maintes personnalités ayant croisé et le quotidien et le fer de "Jacques 1er" (Bravo pour l'interprétation de Pasqua "on s'y croyait !) Bel aperçu de nos souvenirs !
Pour 2 Notes
Un spectacle précis, au ton et à l'humour habiles. Le comédien qui joue Jacques Chirac est remarquable et parfois on s'y tromperait ! Le rythme est peut-être un peu lent sur la deuxième partie du spectacle (mais c'est aussi la vie de l'ancien président qui va en ralentissant). Une belle découverte !
Impressionnante rétrospective J'avais vu la pièce proposée il y a 3 ou 4 ans à la Contrescarpe. Pièce fort bien interprétée et dont le mimétisme avec "le Grand Jacques" se révélait impressionnant. Et bien cette représentation, d'excellente qualité, nous permet non seulement de suivre le parcours politique de "l'animal politique" mais également la transformation visuelle du comédien, très convaincante, on frôle le mimétisme. N'oublions, surtout pas son compère donnant vie à maintes personnalités ayant croisé et le quotidien et le fer de "Jacques 1er" (Bravo pour l'interprétation de Pasqua "on s'y croyait !) Bel aperçu de nos souvenirs !
94, rue du faubourg du temple 75011 Paris
La Scala Paris
Théâtre de Corbeil-Essonnes
Théâtre du Palais Royal
La Scala Paris
Tristan Bernard
Théâtre Montparnasse
