Juillet 1967. Un sanatorium à Riga. Lidia, une patiente excentrique attire la sympathie de Rodion, le médecin-chef bougon. À l’automne de leur vie, ils s’apprivoisent, se provoquent, se séduisent. Cette rencontre éclaire leurs jours avec pour seul mot d’ordre : jusqu’au bout, il y a la Vie !
Juillet 1967. Un sanatorium à Riga (ex-URSS). Lidia, une « patiente », excentrique, parvient à attirer l’attention puis la sympathie de Rodion, le médecin-chef de l’établissement, homme bougon et renfermé. Ces deux êtres, à l’automne de leur vie, s’apprivoisent, se provoquent, se séduisent. Cette rencontre éclaire leurs existences, leur ouvre de nouveaux horizons et chasse leur solitude.
Ce Bateau pour Lipaïa, du dramaturge russe Alexei Arbuzov est une ode vibrante à la vie : la vieillesse n'est pas le temps de la nostalgie ou des regrets… C’est celui de la force de l'expérience et des souvenirs. Cette force vitale qui permet de ne jamais se délaisser et d’avancer sereinement au travers des événements… Et ainsi, conjurer l’affaissement de la personnalité et le renoncement avec pour seul mot d’ordre : jusqu’au bout, il y a la Vie !
« Cette grande ode à la vie est portée avec panache par Emmanuel Dechartre et Bérengère Dautun qui dégagent tous deux une force vitale à l'extrême opposé des affrres du grand âge. » Télérama TT
Très émouvant.
j'ai eu quelques assoupissements tout comme la petite dame du premier rang.Je me suis ennuyée malgré le jeu d'Emmanuel Dechartre .
très belle histoire bien jouée,mais pas assez dynamique. Le couple a tendance à nous attrister..
Une pièce à découvrir avec de pétillants acteurs sur une possible tonicité du troisième age.
Pour 6 Notes
Très émouvant.
j'ai eu quelques assoupissements tout comme la petite dame du premier rang.Je me suis ennuyée malgré le jeu d'Emmanuel Dechartre .
très belle histoire bien jouée,mais pas assez dynamique. Le couple a tendance à nous attrister..
Une pièce à découvrir avec de pétillants acteurs sur une possible tonicité du troisième age.
Cette comédie romantique, dépeignant une rencontre peu conventionnelle, se démarque par le talent indéniable de ses deux interprètes. La justesse avec laquelle ils incarnent leurs personnages contribue à la réussite de cette pièce. L'intérêt réside dans le contraste entre les vies des deux protagonistes, chacun exerçant une influence sur l'autre. Ces moments de partage témoignent de l'authenticité d'une rencontre inoubliable, ajoutant une dimension particulièrement touchante à cette belle histoire.
Ces deux septuagénaires, que tout oppose, vont finir par s'apprécier et retrouver l'espérance de la vie. Il est bougon, ordonné, rigide. Elle est excentrique, rebelle et indépendante. Il est le médecin, elle est une "patiente" (mais si peu, parfois).. Et pourtant tous les deux ont connu la souffrance de la perte "d'un être aimé" et subisse l'accablement de la solitude. Ce "faisons un rêve" slave, tout en finesse et subtilité nous fait partager un doux et lumineux rayon d'apaisement et d'espoir.
78 bis, boulevard des Batignolles 75017 Paris