Quatre personnages pris au piège dans une maison de la culture où ils ont été invités à interpréter un quatuor de Beethoven par un certain Schwartz, personnage qui reste invisible tout au long de la pièce. A leur arrivée, personne n’est là pour les accueillir, ils commencent les répétitions, mais leur travail est successivement interrompu par les bruits de l’étage au-dessus, l’orage qui tonne et la haute présence de Beethoven lui-même, incarné par un buste en bronze présent sur scène et auquel Guillaume s’identifie progressivement. Peu à peu les quatre musiciens se rendent compte qu’ils sont prisonniers de cette maison de la culture, soumise à d’étranges métamorphoses…
Ma seule intention est de me noyer dans la pièce, de m’y perdre, de me faire
ballotter par ses plaisirs et ses émotions, guidé par le coq et l’âne, d’éviter le
bêta désir de comprendre et fuir toutes les routes d’intelligence qui mèneraient en vain à je ne sais quel sens unique.
Accompagné des personnages musiciens, de celui qui ne l’est pas et de Beethoven aussi je veux vivre ce rêve traversé par les rires d’un monde qui est
peut-être le nôtre ou peut-être pas.
Bref, mon intention est avant tout de ne pas faire le dramaturge.
Jean-Michel Ribes
Le rideau s'ouvre et nous changeons d'univers. Nous sommes dans un étui de violon ! Cinq personnages dont un quatuor à cordes évoluent dans ce décor particulier. Chacun à son tour laissera voir son angoisse par rapport à cette situation surprenante. Cette pièce c'est rien que du bonheur. Un texte absurde à souhait, de somptueux comédiens, etc, etc...
Le rideau s'ouvre et nous changeons d'univers. Nous sommes dans un étui de violon ! Cinq personnages dont un quatuor à cordes évoluent dans ce décor particulier. Chacun à son tour laissera voir son angoisse par rapport à cette situation surprenante. Cette pièce c'est rien que du bonheur. Un texte absurde à souhait, de somptueux comédiens, etc, etc...
2 bis, avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris