Adaptée d'une nouvelle féministe et fantastique de Charlotte Perkins Gilman, la pièce met en scène un huis-clos mental en forme de journal intime. Une jeune mère, envahie pas une profonde mélancolie, est contrainte à un repos forcé dans la chambre d’un manoir.
Plongée en eaux troubles.
Le Papier peint jaune est l’adaptation d’une nouvelle féministe et fantastique de Charlotte Perkins Gilman : dans ce huis-clos mental en forme de journal intime, une jeune mère, envahie pas une profonde mélancolie, est contrainte à un repos forcé dans la chambre d’un manoir. Sur ses murs, un papier peint jaune dont le motif va peu à peu l’obséder. Troublant et puissant.
Cette pièce tout à la fois étrange et envoutante est admirablement interprétée par une jeune comédienne toute en désespérance, en doutes et en peur. Ce texte, avec ses accents à la Edgar Allan Poe, campe en filigrane, la position de la femme, enfermé dans son statut de "petite chose" infantile, ignorante et irresponsable. Quelle belle analyse.
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Cette pièce tout à la fois étrange et envoutante est admirablement interprétée par une jeune comédienne toute en désespérance, en doutes et en peur. Ce texte, avec ses accents à la Edgar Allan Poe, campe en filigrane, la position de la femme, enfermé dans son statut de "petite chose" infantile, ignorante et irresponsable. Quelle belle analyse.
2 bis, Passage La Ruelle 75018 Paris