Le temps s’enfuit, vent infini qu’on ne pourra jamais apaiser, jamais rattraper, érodant tout sur son passage.
Un jour ou l’autre, insidieusement, à notre insu, nous sommes confrontés à son emprise, tout comme le sont les personnages de ces contes.
Le temps s’enfuit, vent infini qu’on ne pourra jamais apaiser, jamais rattraper, érodant tout sur son passage.
Un jour ou l’autre, insidieusement, à notre insu, nous sommes confrontés à son emprise, tout comme le sont les personnages de ces contes.
Les Haïkus, imprégnés de sagesse zen, expriment, à leur manière, la fuite du temps qui génère la transformation et l’impertinence de toutes choses, donnant un pouvoir d’évocation plus grand aux contes avec lesquels ils interagissent.