Le bal des fous (hors les murs)

Aubervilliers (93)
du 4 au 19 juillet 2009
1h45

Le bal des fous (hors les murs)

Melville, Dostoïevski et Tchekhov ont inspiré ce voyage à la fois loufoque et poétique au cœur de la folie des hommes. Une escapade enchanteresse. Au Parc Eli Lotar à Aubervilliers.

Au parc Eli Lotar.

A voir en famille, à partir de 12 ans. Un tarif pour les jeunes est disponible sur place.
Une version courte destinée au jeune public (avec uniquement Moby Dick) est programmée. Renseignements et réservation auprès du théâtre.

Spectacle de marionnettes en musique
Les nouvelles
Vers un voyage au coeur de la folie des hommes, itinérant
L'itinérance
De la folie sanguinaire, burlesque ou fanatique
Les formes de narration
Repères : deux compagnies, une rencontre
Le Cinérama (Cie Le Quarantième Rugissant)
La Cie des Chiffonnières
La presse

  • Spectacle de marionnettes en musique

Le spectacle s'inspire de trois nouvelles : Moby Dick de Melville, Le Crocodile de Dostoïevski et Le Pécheur de Tolède de Tchekhov.

Si vous apercevez l’enseigne du Cinérama, ce théâtre voyageur et démontable installé en bas de chez vous et habité par de drôles de marionnettes, bonimenteurs, musiciens et autres poètes... fuyez ! On raconte en effet qu'entre ses murs de bois et de bâches, souffle un vent qui ébranle les certitudes et la raison.

Et pour cause… Les marionnettes en musique des Chiffonnières embarquées dans l'univers forain du Cinérama invitent cette fois-ci à un voyage au coeur de la folie des hommes, douce, burlesque ou sanguinaire. Pour guides Melville, Dostoïevski et Tchekhov, et trois histoires extraordinaires, trois hommes dont le destin bascule : un capitaine aveuglé par son désir de vengeance mène son équipage vers une mort certaine ; un fonctionnaire avalé vivant par un crocodile cède à l'appel de la célébrité facile et éphémère ; un prêtre fanatique s'est juré de soumettre les corps et les âmes par le bras de la Sainte Inquisition, et sème le trouble dans l'esprit d'un homme amoureux…

Vers quelles méandres de l’âme humaine nous conduisent Moby Dick, Le Crocodile ou Le Pécheur de Tolède ?

Une équipe de 4 musiciens et 5 marionnettistes mène sur un rythme endiablé ce Bal des Fous. De la salle à la scène, du sol au plafond, tout est construit pour donner au public l’illusion qu’il assiste à un film d’animation en 3 dimensions. Et comme dans tous les spectacles du Cinérama, la pièce commence et finit dans la rue. Mais nul ne sortira indemne de ce voyage dans la roulotte-théâtre.

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  • Les nouvelles

Moby Dick de Melville
Le jeune Ismaël, quand il arrive à New Bedfort, ne connaît de la navigation que la marine marchande. Plein d’enthousiasme et d’illusion, il rêve de s’embarquer à bord de l’un de ces gigantesques baleiniers qui mouillent dans le petit port du Nantucket. Les perspectives d’un voyage de trois ans, à travers toutes les mers du globe, lui font oublier les dangers et la dureté de la vie en mer. Sourd aux imprécations du prophète qui lui promet « un voyage aux enfers au cours duquel tous périront sauf un », il s’embarque à bord du Péquod, commandé par le ténébreux Capitaine Achab. À bord, les rumeurs les plus folles courent sur le maître des lieux : sa jambe en os de baleine, l’immense balafre qui le défigure, alimentent la « Légende d’Achab ». On le dit sombre et tourmenté, brûlé par un inextinguible désir de vengeance... Mais, ce n’est que lorsqu’il dévoile à l’équipage le véritable but du voyage que la folie entre en scène. Loin de mener une traditionnelle campagne de chasse, le Capitaine poursuit de sa haine, à travers les mers et les océans, Moby Dick, la grande baleine blanche. Il ne connaîtra le repos que lorsqu’il aura vaincu le démon des mers, cet immense cachalot qui jadis lui arracha la jambe. Ce combat ne pouvait avoir qu’une issue fatale... La folie mène le bal... Seul Ismaël, le jeune mousse du bord, reviendra vivant pour témoigner de cette lutte contre le monstre.

Le Crocodile de Dostoïevski
L’action se déroule sur les grands boulevards à l’intérieur d’un cabinet de curiosités qui abrite tout un bestiaire : animaux célèbres, mythiques ou imaginaires. On peut venir y admirer, entre autres phénomènes, la bête du Gévaudan, la chèvre de Monsieur Seguin, un vieux Mickey dépressif et... le crocodile. Le jour se lève sur la petite boutique. Les animaux s’éveillent un à un. Commentaires et anecdotes sur les conditions de vie, leur célébrité passée, la vanité de toutes choses... Sagesse et bon sens animalier. Un couple de badauds entre dans la boutique et se laisse guider par le maître des lieux. Et soudain, c’est le drame... Le visiteur distrait s’est penché au-dessus de la fosse aux crocodiles... Un coup de queue lui fait perdre l’équilibre... Un coup de tête, il vacille... Agitation dans la fosse, il sombre tout entier dans la gueule du monstre... Alors que tous le croient mort, une voix étouffée sort du crocodile : notre homme survit dans les entrailles de la bête... C’est à ce moment précis que l’histoire bascule dans la folie. Les médias s’emparent de l’événement et la mécanique bien huilée de la société du spectacle se met en branle : battage médiatique, course à la célébrité facile et éphémère, publicité... Cette spirale du succès semble irrésistible. Lorsque soudain, un autre drame, tout aussi absurde et insolite se produit à l’autre bout de la ville. En quelques instants, notre « avalé vivant » véritable star d’hier est rangé au rang de curiosité. Parmi les phénomènes que l’on peut admirer dans la petite boutique, il y a désormais un crocodile qui parle...

Le Pécheur de Tolède de Tchekhov
« Toute personne qui dénoncera la sorcière Maria Spalanzo gagnera immédiatement le salut de son âme ». L’histoire se déroule à Barcelone, en pleine campagne d’inquisition. Sur l’une des places de la ville, un tribunal volant présidé par le grand inquisiteur Augustin rend sa justice divine. Accablés par le sort, les hérétiques comparaissent devant leurs juges. La cruauté des verdicts frappe le bon sens. On perçoit derrière cette chasse aux sorcières tout le contexte politique troublé de l’Espagne inquisitoriale. À l’issue du procès, le jeune inquisiteur Augustin sort se promener dans les rues de la ville. Son âme est tourmentée. Il croit lire la présence du « Malin » dans chaque détail insolite. C’est alors qu’il croise la route de la belle Maria Spalanzo. Sa spontanéité et sa fraîcheur frappent le jeune prêtre. Troublé, il l’accuse immédiatement de sorcellerie et lui promet de livrer son corps aux flammes du bûcher. Bouleversée, Maria se réfugie dans les bras de son mari. Il lui promet de la cacher tant que cette terrible sentence pèsera sur elle. Commence alors pour Spalanzo un dilemme qui le conduira aux limites de la folie. Son passé de jeune étudiant en médecine, ses recherches sur la chimie et les mathématiques, le tourmentent. S’il a péché dans sa jeunesse, à Tolède, il ne voit qu’une seule issue pour gagner l’absolution. La propagande du grand inquisiteur commence à faire son chemin dans le cerveau troublé de notre homme...

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  • Vers un voyage au coeur de la folie des hommes, itinérant

L'itinérance
Il s'agit avec le Cinérama, roulotte-théâtre inventée par nos mains, de construire un objet rare, une pièce unique, d'aboutir à un rêve.

Toute aventure théâtrale est par nature itinérante, mais nous désignons par ce terme le fait de transporter en plus de nos spectacles et de nos décors, l'écrin magique où se déroulera un moment de rêve : notre propre salle. Ce petit théâtre, lieu lilliputien aux allures d'opéra, boîte de pandore nous permettant d'exprimer nos idées les plus folles, c'est notre outil de travail. Nous l'installons et le démontons comme les forains le font avec leur « métier ». Pénétrer dans le Cinérama, c'est s'offrir un tour de manège unique, une aventure de courte durée qui nous fait oublier le quotidien, nous plonge dans un autre espace-temps… le temps d'une danse dans un monde imaginaire, dans un autre siècle, avec néanmoins des problématiques contemporaines.

Notre envie première est d'apporter le théâtre chez les gens, de poser notre salle au coeur de la cité, de mêler théâtre de rue et théâtre de salle. Nous avons cet amour de la rue, du tréteau, pour le contact direct avec le public, la harangue, la nécessité d'efficacité et de simplicité des images, la capacité à toucher droit au but la sensibilité des gens. Notre coeur va aussi à la magie de la boîte noire, au frisson de pénétrer dans une salle de théâtre, lieu chargé d'histoire. Avec le Cinérama, nous voulons créer un vrai théâtre, avec tous ses apparats, sa magie et ses immenses avantages techniques (lumière au noir, insensibilité aux intempéries, grande qualité de silence, belle acoustique, etc.), mais déplaçable à loisir, avec parades et boniments.

Notre « Théâtre Voyageur et Démontable » s'inspire des aventures de Firmin Gémier et d’autres familles de théâtre forain, mais aussi de l’esprit des constructeurs de manège du début du XXème siècle, qui sculptaient et soignaient chaque partie de leur œuvre, y compris celles invisibles aux yeux du public. Il a été conçu comme une pièce unique au confluent du voilier, de l'Orient Express, du théâtre à l'italienne, avec des inspirations Art Nouveau.

Ce théâtre mi-dur mi-toile, nous aimons à nous raconter que des gens le monteront encore au siècle prochain, et c’est dans cette idée que nous n’avons utilisé que des matériaux nobles : bois précieux, cuir et tissus de qualité, laiton, dorures, etc…

Enfin, le Cinérama est parfaitement adapté à l’art de la marionnette. Nous n'amenons pas le décor au sein d'un théâtre, c'est le théâtre lui-même qui se transforme en immense castelet, comme une marionnette gigantesque qui s'ouvre de toutes parts. La fosse où les manipulateurs évoluent, permet d'installer les scénographies les plus folles. La machinerie sur le toit ouvre une « place dans les cintres », et offre toute une palette de manipulations.

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De la folie sanguinaire, burlesque ou fanatique
Ce petit théâtre ambulant se propose de devenir le réceptacle de toutes les passions humaines. Entre ces murs de bois et de toile, raisonneront les histoires insolites, drôles ou tragiques, de ces hommes dont la raison vacille.

Trois nouvelles pour tenter de comprendre, de disséquer l'instant précis où leur destin bascule, où la folie surgit et guide le cours des choses... Si un homme, en proie à son obsession, peut transcender son existence, ne peut-il pas tout aussi bien courir à sa perte, précipiter des peuples entiers dans le chaos ? Surprenant spectacle des passions humaines lorsque la folie mène la danse.

Nous nous pencherons sur ce moment du dérapage, cet instant souvent anodin qui casse la frontière entre le réel et la folie, le normal et l'incongru. À partir de quel moment peut-on considérer que nous ne sommes plus dans l'ordre de la raison ? Comment dérive-t-on d'une simple opinion, politique ou religieuse, à une guerre sans merci livrée contre ceux qui n'ont pas la même pensée ? Nous n'avons pas la prétention d'apporter une réponse, nous ne jugeons pas ces fous errants, ces fous burlesques ou sanguinaires. Nous racontons l'histoire et laissons le public se faire sa propre opinion.

Nous voulons aborder la folie par trois chemins différents, trois thématiques autour desquelles nous articulerons la progression de la dramaturgie : partir de la folie d'un homme, le capitaine Achab : une unique obsession - son désir de vengeance irraisonné sur Moby Dick - mène sa vie et mène aussi tout un équipage vers la mort. Notre problématique s’élargira finalement au fanatisme religieux, avec Le Pécheur de Tolède, dans lequel Spalanzo, endoctriné par la propagande, en vient à dénoncer sa propre femme. Entre ces deux histoires, Le Crocodile de Dostoïevski apportera une respiration dans le rythme du spectacle. Le spectateur pénétrera dans l'atmosphère intime et chaleureuse d'un cabinet de curiosités et se laissera porter par le ton burlesque de la nouvelle. La satire de l'administration brossée par l'écrivain devient, dans cette version, celle de la société du spectacle. Vingt minutes portées par la folie très particulière, risible et cruelle, qui pousse l'homme à l'exhibitionnisme, à la démesure, pour accéder à une gloire de courte durée.

Les formes de narration
Scénographie et marionnettes, avec leurs spécificités, donneront forme à ces trois thématiques : on passera ainsi d'un cadre de scène très allongé qui évoquera le cinémascope et donnera l'illusion au spectateur d'assister à un film d'animation en trois dimensions très « hollywoodien », à une ville toute en perspective, ombre et lumière, grâce à des panneaux peints coulissant sur des rails, en passant par le plan fixe d'un cabinet de curiosités.

La musique - entièrement composée pour le spectacle et interprétée en direct par un orchestre de 4 musiciens et 8 instruments - ponctuera et soutiendra la narration, comme les chants, le conte et les boniments forains, par des ruptures de rythme, des respirations, des liens, …

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  • Repères : deux compagnies, une rencontre

Le Cinérama (Cie Le Quarantième Rugissant)
Le Cinérama est le fruit d’une rencontre entre un comédien et une musicienne, Arnaud Vidal et Natacha Muet. Leur passion commune pour les arts forains, l’opérette, le cinéma muet et la machinerie traditionnelle du théâtre, les mène en 1995 à transformer leur caravane d’habitation en roulotte de spectacle, et à reconstituer une petite salle de cinéma à l’ancienne. Ils la construisent comme un petit théâtre à l’italienne, avec plateau en bois, cadre de scène et dorures, rideaux de velours et strapontins en cuir, car ils envisagent d’ores et déjà d’y voir un jour évoluer des comédiens…

À l’époque, ils choisissent un mode itinérant pour renouer avec les cinémas de proximité d’antan. Ils veulent aussi faire partager leur engouement pour le théâtre forain du début du siècle, tout en y proposant des histoires, des formes et des musiques actuelles.

En 1995, ils créent leur propre compagnie, Le Quarantième Rugissant, mais ils décident deux ans plus tard, pour des raisons affectives et pratiques, de jouer leur spectacle sous l’égide de la Cie Babylone. Ils travaillent en effet depuis de nombreuses années avec Patrice Cuvelier et Sophie Robert (fondateurs de la Cie Babylone) qui leur ont transmis leur passion pour le théâtre. En 2003, ils quittent Babylone pour voler à nouveau de leurs propres ailes mais ils garderont toujours avec eux le bagage d'une école et d'une aventure hors norme.

Excepté le spectacle La Peur au Ventre qui tire son inspiration des automates forains, le cinéma est à la base de toutes les autres créations : cinéma muet pour La Tour, cinéma hollywoodien des années cinquante, rétroprojection et post-synchronisation des comédiens dans À Feu et à Sang, cinéma d’animation pour Le Bal des Fous. La musique en direct, le conte et les boniments chantés apportent un cachet particulier à ces spectacles. La musique est composée en direct à partir d’un travail d’improvisation, largement inspirée des accompagnements du cinéma muet ; elle est ensuite retravaillée et orchestrée avec des influences modernes. Enfin, telle une boîte à malice, la roulotte du Cinérama évolue au fil des créations. Elle s’ouvre de toutes parts : vers le haut pour La Tour, permettant tout un système de machinerie de théâtre, à l’avant et l’arrière pour À Feu et à Sang, offrant une plus grande profondeur de plateau et l’accès à la rétroprojection. Pour Le Bal des fous, un nouveau théâtre voyageur et démontable a été construit : tous les côtés de la roulotte s’ouvrent, permettant de construire un véritable théâtre à l’italienne, avec une palette de jeu très impressionnant et une jauge public bien plus importante.

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La Cie des Chiffonnières
Steffie Bayer, plasticienne, Natacha Muet, musicienne et, Camille Trouvé, marionnettiste, décident en 1996 de croiser leurs arts : elles fondent une troupe de théâtre de Marionnettes en Musique. En 1998, Gaëlle Pasqualetto, musicienne et costumière, les rejoint. L’univers plastique des Chiffonnières se caractérise par la récupération de rebuts et le détournement d’objets du quotidien. Leur atelier se remplit de formes hétéroclites qui servent de matière première à la construction des marionnettes. Elles utilisent souvent des matériaux passés par le temps, qui gardent une trace de leur vie antérieure, et elles jouent sur le décalage entre la fonction première de l’objet et sa réinterprétation au sein du décor. L’ensemble forme un univers insolite se rapprochant des arts bruts.

Cette démarche a évolué au fil du temps et des créations : tout en maintenant leur attachement aux matériaux pauvres tels que le papier, le carton, le bois vieilli, l’aspect « brut » de leurs premières marionnettes s’est enrichi d’une touche plus baroque. La relation entre image et musique est au centre de leur travail de création : l’image se construit en relation étroite avec l’univers sonore, certaines scènes étant réellement conçues comme des chorégraphies. Comme dans les comédies musicales, la musique prend une place narrative, le texte des chansons fait avancer l’intrigue et les personnages dialoguent en musique.

En 2000, les deux compagnies créent ensemble La Peur au ventre, une histoire presque vraie, spectacle à la croisée de l’univers forain du Cinérama et des marionnettes en musique des Chiffonnières.

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  • La presse

"Un superbe spectacle." Le Parisien

"Une immersion dans des univers fantastiques, servie par des artistes qui savent conjuguer de nombreux talents." Le Figaroscope

"Embarquement immédiat !" Télérama

"Enchanteur et envoûtant !" La Terrasse

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Sélection d’avis du public

Le bal des fous (hors les murs) Le 11 août 2009 à 14h52

Un très très très beau et bon moment, je me suis dit en y allant "qu'est ce que ça va être, un spectacle de marionnettes...bof" et bien j'ai été bleuffé. J'ai assisté à beaucoup de spectacles, celui-ci est probablement le plus original, le plus touchant et le plus drôle que j'ai vu. Des comédiens pleins de simplicité, une mise en scène formidable. Première fois que je donne mon avis sur un site mais cette pièce le mérite largement. Je vous invite à y allez en famille, entre amis peu importe l'âge ce spectacle est accessible à tous...un vrai bonheur et un excellent moment. Bravo, bravo et encore bravo :)

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Le bal des fous (hors les murs) Le 11 août 2009 à 14h52

Un très très très beau et bon moment, je me suis dit en y allant "qu'est ce que ça va être, un spectacle de marionnettes...bof" et bien j'ai été bleuffé. J'ai assisté à beaucoup de spectacles, celui-ci est probablement le plus original, le plus touchant et le plus drôle que j'ai vu. Des comédiens pleins de simplicité, une mise en scène formidable. Première fois que je donne mon avis sur un site mais cette pièce le mérite largement. Je vous invite à y allez en famille, entre amis peu importe l'âge ce spectacle est accessible à tous...un vrai bonheur et un excellent moment. Bravo, bravo et encore bravo :)

Informations pratiques

Théâtre de la Commune

2, rue Edouard Poisson 93304 Aubervilliers

Bar Grand Paris Librairie/boutique Restaurant Seine-Saint-Denis Vestiaire
  • Métro : Mairie d'Aubervilliers à 395 m
  • Bus : André Karman à 73 m, Mairie d'Aubervilliers à 297 m, Paul Bert à 357 m
  • Voiture : par la Porte d'Aubervilliers ou de La Villette - puis direction Aubervilliers centre

    Navette retour : le Théâtre de la Commune met à votre disposition une navette retour gratuite du mardi au samedi - dans la limite des places disponibles. Elle dessert les stations Porte de la Villette, Stalingrad, Gare de l'Est et Châtelet.

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Plan d’accès

Théâtre de la Commune
2, rue Edouard Poisson 93304 Aubervilliers
Spectacle terminé depuis le dimanche 19 juillet 2009

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