Quel est le prix de la liberté ? Liberté sexuelle, amoureuse, politique, sociale ou religieuse... Le Liban contemporain concentré dans l’histoire d’une femme fidèle au rêve persistant d’un père journaliste, écrivain et libre penseur.
Le soir des funérailles de son père, Noun coupe le son des psalmodies du Coran qui accompagnent obligatoirement cette cérémonie. L’acte provoque un grand scandale dans sa famille. Noun décide de s’enfermer à double tour avec son père pour lui dire ce qu’elle a sur le coeur, lui rappeler toutes les leçons de libertés qu’il lui a données.
Noun est libre face à la mort, mais une simple porte la sépare d’un monde hostile. Au fil des évocations, Noun quitte le paradis perdu de son adolescence, de ses révoltes pour se confronter à la fin à un monde, à une société qui interdit à la femme l’exercice de la parole, du rêve et de la révolte.
« Des tableaux forts, drôles, insolents, poignants. Les séquences d'une vie qui s'est offert un unique fil conducteur : une inconditionnelle liberté. » Aline Gemayel, La liberté en héritage… Avignon
« Le jour où Nina Simone a cessé de chanter est une pièce très puissante. On croit d'autant plus facilement au personnage que la comédienne joue son propre rôle, ce qui n'est a priori pas la situation la plus facile étant donné l'intimité qu'elle livre. On est pris par le récit et son talent dès les premières secondes. » P.F., e-gazette du spectacle, juillet 2007
« Darina Al Joundi présente un des plus forts spectacles du Festival « Off » d’Avignon. (…) L’actrice libanaise livre, au Théâtre des Halles, un récit d’une impiété impitoyable. » Le Monde
« Présence inoubliable de l’actrice libanaise Darina Al Joundi dans une mise en scène d’Alain Timàr. Un récit bouleversant. (…) La force de son témoignage vaut pour toutes ses soeurs de Palestine, d’Algérie, d’Irak ou de Syrie, et s’entend comme un chant de résistance. (…) Belle et rebelle, elle balance, dans un récit brut, son histoire et celle du Liban. » L’Humanité
« Elle nous transperce ; c’est du théâtre consolation, c’est du théâtre révélation la veille de la fin de ce festival d’Avignon. » France Info
« Seule dans son éclatante beauté, Darina Al Joundi emplit jusqu’au ciel la Chapelle Sainte-Claire. (…) Mise en scène et dirigée avec une tendre fermeté par Alain Timàr (un père de théâtre). Qui comme toujours évite toute faute de goût et pontue le texte écrit par sa comédienne de gongs musicaux-coups de poing : exactement les 2 minutes 40 que dure Sinner man et que Nina Simone ne chantera plus jamais. » La Provence
Merci, merci Noun, merci pour qui tu es, merci pour ce merveilleux talent que tu nous offres, merci de vivre, merci d'exister, grâce à toi j'ai découvert Sinnerman, merci. Merci Noun. Tu es très belle, continue de rayonner, tu excelles par ta prestance. Tu es pour moi tout simplement divine.
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