Le spectateur n’assiste pas à un spectacle : assis à une table, il en est partie prenante. Une soirée gaie et tapageuse qui nous transporte au pied de la Cordillère des Andes en 1910. José Aceituno et sa femme la Môme Bijou ont planté leur cabaret, qui même dans ce coin perdu est menacé de fermeture par gouvernement conservateur.
Une soirée gaie et tapageuse
Le Kabaret de la dernière chance nous transporte au pied de la Cordillère des Andes en 1910. En plein désert d’Aracama que José Aceituno et sa femme la Môme Bijou ont dû planter leur cabaret, qui même dans ce coin perdu est menacé de fermeture par gouvernement conservateur. Or, ce soir où l’on attend le passage de la comète de Halley, l’espoir est permis. Le Président de la République en personne doit venir assister au spectacle. La troupe est prête, les numéros sont répétés ; il ne reste plus qu’à le séduire pour lui extorquer l’autorisation définitive d’ouverture.
(Dîner servi au début du spectacle.)
La presse
" Attention, ce Kabaret est très très louche … Là se bat l’esprit de Fellini contre l’âme de Bunuel, sur une fleur libertaire. Aucune chance de ne pas
s’en souvenir. " Jacques Higelin