Remarquable adaptation du roman d'Albert Camus, ce Mythe de Sisyphe part du mythe grec pour dire l'absurdité de la condition humaine et la révolte qui s'ensuit. Pierre Martot nous donne à entendre ce texte pour la première fois sur scène. À partir de 15 ans.
À partir de 15 ans.
Les dieux ont condamné Sisyphe à rouler sans cesse un rocher jusqu’au sommet d’une montagne dont la pierre retombe par son propre poids.
On l’aura compris : Sisyphe, c’est l’être humain ; et, le rocher, c’est son destin.
A partir de ce mythe venu de l’antiquité grecque, Albert Camus pose que « le sens de la vie est la plus pressante des questions ». Pour tenter d’y répondre, nous emprunterons avec lui un chemin qui passe par la prise de conscience de l’absurdité de la condition humaine et par la révolte qui en résulte. « Cette révolte donne son prix à la vie. Elle lui restitue sa grandeur. »
C’est la première fois que ce texte, écrit durant les mêmes années de jeunesse que l’Etranger, est porté à la scène par un acteur. Chaque pensée, chaque phrase, chaque mot, est ici tiré de l’oeuvre originale.
« Il faut imaginer Sisyphe heureux ».
« La clarté de l’intelligence et la beauté du partage. » La Terrasse.
« Un travail remarquable. » Arts Mouvants.
« Le Mythe de Sisyphe interprété par Pierre Martot est une remarquable performance, ambitieuse et, à sa manière, "révoltée". Le comédien donne chair et corps au texte magistral de Camus et parvient à en extraire la substantifique moelle. » La Revue du spectacle
Il convient de saluer la talentueuse représentation de Pierre Martot qui nous emporte avec précision dans les méandres de réflexion proposé par ce texte. Impressionnant.
Aussi puissante que subtile est l'incarnation des mots de Camus par la voix et le corps de Pierre Martot. Une mention spéciale pour la place des lumières et le jeu que le comédien instaure avec elles.
Excellente interprétation, questionnement philosophique sur l'absurdité de la vie. Belle mise en scène, bonne appropriation de l'espace. Allez-y les yeux fermés.
C'était une gageure que de faire théâtre avec un essai philosophique, en l'occurrence "Le mythe de Sisyphe" de Camus. Pierre Martot y parvient tout à fait et l'on ne s'ennuie pas une seconde. Il s'agit de réfléchir au sens de la vie. Ce théâtre s'adresse plus à notre intellect qu'à nos sens. Peu importe, le message passe. La limite est toutefois que ce texte est très dense et que, par définition, le spectacle vivant ne permet pas, à la différence du livre ou de la vidéo, de faire une pause ou de revenir en arrière.
Pour 4 Notes
Il convient de saluer la talentueuse représentation de Pierre Martot qui nous emporte avec précision dans les méandres de réflexion proposé par ce texte. Impressionnant.
Aussi puissante que subtile est l'incarnation des mots de Camus par la voix et le corps de Pierre Martot. Une mention spéciale pour la place des lumières et le jeu que le comédien instaure avec elles.
Excellente interprétation, questionnement philosophique sur l'absurdité de la vie. Belle mise en scène, bonne appropriation de l'espace. Allez-y les yeux fermés.
C'était une gageure que de faire théâtre avec un essai philosophique, en l'occurrence "Le mythe de Sisyphe" de Camus. Pierre Martot y parvient tout à fait et l'on ne s'ennuie pas une seconde. Il s'agit de réfléchir au sens de la vie. Ce théâtre s'adresse plus à notre intellect qu'à nos sens. Peu importe, le message passe. La limite est toutefois que ce texte est très dense et que, par définition, le spectacle vivant ne permet pas, à la différence du livre ou de la vidéo, de faire une pause ou de revenir en arrière.
35, rue Léon 75018 Paris