Le prince

Nanterre (92)
du 19 avril au 24 mai 2001

Le prince

CLASSIQUE Terminé

" En proie à une mélancolie furieuse, Nicolas Machiavel écrit " Le prince " en quelques semaines, à l’automne 1513, dans l’exil et la pauvreté que lui valent l’effondrement de la république et le retour des Médicis à Florence. Cinq siècles plus tard, le pouvoir de provoca

Présentation
Jacqueline Risset, extrait de la préface
Extraits
Allegro Furioso / Anne Torrès
Jacqueline Risset (Traductrice)
Autour du spectacle

Présentation

En proie à une mélancolie furieuse, Machiavel écrit Le Prince en quelques mois, à l’automne 1513, dans l’exil et la pauvreté que lui valent l’effondrement de la République et le retour des Médicis à Florence. Cinq siècles plus tard, le pouvoir de provocation de son petit livre reste entier. Empreint de liberté, lucide, d’un réalisme fulgurant, Le Prince nous hante plus que jamais.

Le Prince appartient d’emblée à l’espace du théâtre. La voix s’échappe du livre. Il faut aller du théâtre vers la politique, de la passion vers la pensée, pour jouir du suspense du Prince. Pour entendre la logique et les coqs-à-l’âne, le rire et la cruauté. Tout va très vite dans Le Prince, allegrissimo, avec une bonne humeur endiablée.

A l’orée de la Renaissance, Machiavel inscrit la question du désordre et de la guerre au cœur de sa vision d’un monde qui se pense déjà orphelin du divin. Table rase de la transcendance. Machiavel impose la transparence. Mais en éclairant pour le Prince les moindres recoins de la maison du Pouvoir, il en donne d’abord les clés au peuple. Le Prince est un appel, une invitation à l’action.

Diplomate, homme politique et… homme de théâtre, Machiavel pose moins la question du pouvoir que celle de son apparence. Il mêle indissociablement le registre du politique et celui de la représentation. A l’attention du souverain, mais aussi de l’autre, le citoyen, le spectateur. Machiavel construit une dramaturgie idéale du pouvoir, rêvée dans la liberté du théâtre. Et une analyse très politique de l’art de dire et de séduire. Le Prince pourrait s’appeler L’Acteur.

Chaque jour, composant Le Prince, Machiavel relisait Dante. Deux écrivains, deux hommes d’action engagés dans un combat pour dire le monde et pour le changer. En donnant pour la scène une nouvelle traduction du Prince, personne ne pouvait en éclairer mieux l’unité poétique et politique que Jacqueline Risset, poète et traductrice de La Divine comédie.

Anne Torrès

Dans son Prince Machiavel nous fait respirer l'air sec et subtil de Florence, et ne peut s’empêcher d'exposer les questions les plus graves au rythme d'un indomptable allegrissimo, non peut-être sans prendre un malin plaisir à oser ce contraste : une pensée soutenue, difficile, dure, dangereuse, et un rythme galopant, d'une bonne humeur endiablée.

Friedrich Nietzsche

Jacqueline Risset, extrait de la préface

En mai 1498, quelques jours après la mort de Savonarole, brûlé par ordre du Pape sur la place de la Seigneurie, Machiavel entre au service de la république florentine comme secrétaire de la Seconde Chancellerie, celle qui s'occupe des affaires étrangères ; il est dès lors chargé de missions et d’ambassades variées, dans les diverses régions d’Italie et au dehors. Et, dans son parcours politique et intellectuel, sa première mission en France joue un rôle décisif. Il arrive en juillet 1500, avec Francesco Della Casa à Lyon, où se trouve alors la cour du roi. Jusqu'à ce séjour, il avait été le représentant de sa ville auprès de villes plus petites, dépendant directement de Florence, comme Pise, ou dans un statut d'amitié et de quasi soumission, comme l’Etat de la duchesse de Forli. Pour la première fois, il est ambassadeur de sa république auprès du roi le plus puissant de la chrétienté. Lorsque les deux Florentins arrivent, le roi Louis XII est à la chasse. Il ne se hâte aucunement de revenir, et quand enfin la rencontre a lieu, le dialogue est vidé de son sens par le mépris royal : pas d'armée, pas d'argent, Florence est un lieu sans importance … “Vous êtes nihil”.

Ainsi Florence n'est pas le cœur, la capitale, la Fleur ?

Brutal changement de perspective, vraie blessure narcissique. Mais Machiavel réagit par la curiositas : détachement et désir de comprendre. Le travail de pensée du décentrement commence. Il s'agit d'être capable de varier constamment les points de vue. Cette sorte de leçon administrée à l'improviste change le rapport aux livres et à la théorie. A partir de ce moment, Machiavel cherchera toujours à savoir et à comprendre plus ; plus directement que dans les livres ; plus librement que dans la théorie. Ce qui ne signifie aucunement une attitude anti-théorique. D'une certaine façon, au contraire. Simplement, il va s'agir d'une théorie plus subtile, cherchée avec plus d'acharnement, et souvent traversée par l’air - par le réel.

Jacqueline Risset, extrait de la préface
Le Prince, Nicolas Machiavel,
Editions Actes Sud - Babel
à paraître en avril 2001

Extraits

Au magnifique orateur florentin Francesco Vettori,
auprès du Saint Pontife, son patron et bienfaiteur. A Rome.

(…) Quand je quitte le bois, je m’en vais à une fontaine, et de là à ma volière. J’ai un livre sous le bras, ou Dante ou Pétrarque, Ovide ou d’autres semblables ; je lis leurs passions amoureuses et leurs amours, je me souviens des miennes, et je me réjouis un bon moment dans cette pensée. Je me transporte ensuite sur la route de l’auberge ; je parle avec ceux qui passent, je leur demande des nouvelles de leurs villages, j’apprends diverses choses et je note la variété des goûts et des fantaisies des hommes. Cependant l’heure du déjeuner approche, où, en compagnie de ma maisonnée, je mange les mets que me permettent ce pauvre domaine et ce tout petit patrimoine. Quand j’ai mangé, je retourne à l’auberge ; il y a là l’aubergiste, et d’ordinaire un boucher, un meunier, deux chaufourniers. Avec eux je m’encanaille tout le reste du jour en jouant au brelan, au tric-trac, et de là naissent mille disputes et d’innombrables querelles avec mots injurieux, et le plus souvent on se bat pour un sou, et néanmoins on nous entend crier jusqu’à San Casciano. Ainsi plongé dans cette pouillerie, je tire mon cerveau de la moisissure et je laisse libre cours à la malignité de mon sort, content qu’il me piétine de la sorte, pour voir s’il n’en aura pas un peu honte.

Le soir venu, je retourne chez moi, et j’entre dans mon cabinet ; et sur le seuil, je me dépouille des vêtements de tous les jours, pleins de fange et de boue, et je revêts des habits de cour royale et pontificale ; ainsi décemment accoutré, j’entre dans les antiques cours des Anciens où, reçu par eux avec amour, je me repais de ce mets qui est à moi seul, et pour lequel je naquis ; et là je n’ai pas honte de parler avec eux, et de leur demander les raisons de leurs actes ; et eux, dans leur humanité, me répondent ; et pendant quatre heures de temps je ne sens aucun ennui, j’oublie tous mes tracas, je ne crains pas la pauvreté, la mort ne m’effraie pas : tout entier je me transporte en eux. Et comme Dante dit qu’il n’y a pas de science sans mémoire de ce qu’on a compris, j’ai noté ce qui dans leur conversation est devenu pour moi capital, et j’ai composé un opuscule Sur les principats, où je m’enfonce autant que je peux dans les cogitations sur ce sujet, en disputant de ce qu’est le principat, de quelles espèces ils sont, comment ils s’acquièrent, comment ils se maintiennent, pourquoi ils se perdent. Et si jamais quelqu’une de mes élucubrations vous a plu, celle-ci ne devrait pas vous déplaire ; et à un prince, surtout à un prince nouveau, elle devrait être agréable (…)
Le X décembre 1513

Niccolo Machiavelli à Florence
Texte français Jacqueline Risset

(…) Quand le Duc eut pris la Romagne, trouvant qu'elle avait été gouvernée par des seigneurs impuissants, qui avaient dépouillé leurs sujets plutôt qu'ils ne les avaient corrigés, et leur avaient donné matière à désunion, non à union - si bien que cette province était pleine de brigandages, de querelles, et de toutes sortes d'insolences -, il jugea qu'il était nécessaire, pour la rendre pacifique et obéissante au bras royal, de lui donner un bon gouvernement : c'est pourquoi il y préposa messire Remirro de Orco, homme cruel et expéditif, à qui il donna les pleins pouvoirs. Celui-ci la rendit en peu de temps pacifique et unie, pour sa grande réputation. Après quoi le Duc jugea qu'une autorité si excessive n'était pas nécessaire, parce qu'il craignait qu'elle ne devînt odieuse, et il préposa au centre de la province un tribunal civil avec un président excellent, où chaque cité avait son avocat. Et comme il savait que les rigueurs passées avaient engendré quelque haine, afin de purger les esprits et de se les gagner complètement, il voulut montrer que, s'il y avait eu quelque cruauté, elle n'avait pas été causée par lui mais par la nature violente du ministre. Et, prenant aussitôt cette occasion, il le fit un matin, à Cesena, mettre en deux morceaux sur la place, avec un billot de bois et un couteau ensanglanté à côté de lui : la férocité de ce spectacle fit que le peuple resta à la fois satisfait et stupide.

Nicolas Machiavel, Le Prince, chapitre VII
Texte français Jacqueline Risset

Allegro Furioso / Anne Torrès

D’après un entretien réalisé pour le Magazine Littéraire, numéro spécial consacré à Machiavel (avril 2001) par Marie Gaille-Nikodimov

Le théâtre est présent partout dans Le Prince, il est intimement lié à sa pensée, à sa composition et surtout à son projet littéraire et politique. Bien entendu, il ne s’agit pas d’un texte dramatique au sens formel, d’une pièce de théâtre. Mais la construction, le ton, le rythme, les entrées des personnages et des idées, la subtilité et la brutalité des changements de situation, tout cela est du théâtre. Machiavel écrit avec beaucoup de distance et d’humour, et un art consommé de la chute et de la conclusion. Je ne dis pas que cela ressemble à du théâtre, je dis que cela en procède. C’est une stratégie d’écriture et, partant, d’intelligence du texte.

Il faut, pour comprendre - et se laisser emporter par l’énergie du Prince - retrouver l’extraordinaire état de tension intellectuelle et émotionnelle qui est celui de Machiavel au moment où il l’écrit, « dans la fange et la boue » de l’exil, au cours de ces quelques mois de l’hiver 1513. Il y a une osmose entre son humeur - cette mélancolie furieuse qui l’habite - et l’objet de son étude - l’état d’une Italie déchirée par les guerres et les conflits, en proie au chaos, en pleine crise. Ecrivain et homme d’action, diplomate et auteur dramatique, Machiavel a écrit d’un côté des essais politiques et historiques, de l’autre des pièces de théâtre. Mais on ne peut lire Le Prince ni comme les Discours sur la première décade de Tite-Live, ni comme La Mandragore. Le Prince est hors catégorie. Le théâtre y fonctionne comme ressort et comme dévoilement de sa pensée. Machiavel s’en sert comme d’un moyen, en partie imposé par les circonstances de son histoire personnelle et celles de l’Italie, pour condenser et masquer sa pensée, pour dire une vérité. […]

Il y a dans Le Prince une multitude d’histoires et de personnages, que Machiavel réunit soit à partir de sa « longue expérience des choses modernes », soit de « sa continuelle lecture des anciennes ». Beaucoup de ces exemples sont très facilement superposables à des situations que l’on peut connaître aujourd’hui. On pourrait imaginer, à partir de quelques formules de mise en scène, un spectacle se servant de ce procédé de transposition. Je n’ai pas voulu le faire parce que l’essence machiavélienne du texte est précisément le fait qu’il est ancré dans l’immédiateté. Si l’on perd cet aspect de l’histoire du texte, on perd du même coup son émotion. Or c’est cela qui me touche le plus dans Le Prince, l’émotion de la politique : la politique, c’est une émotion humaine, un rapport à l’autre avec des pensées troubles, des pensées claires, des pensées furieuses, des pensées arrangeantes, des pensées rusées, des pensées mauvaises, des pensées heureuses et bonnes. Beaucoup de personnages nous sont connus et appartiennent à notre communauté historique et culturelle, Borgia, Savonarole, Moïse, Alexandre le Grand, Louis XII, les Romains. D’autres le sont moins. Mais je me suis aperçue qu’il était moins important de connaître leur histoire dans le détail que de capter comment ils surgissent et pourquoi ils agissent. Ce qui importe, c’est de comprendre qu’il y a nœud, état de crise et nécessité de trancher ce nœud. La plupart de ces personnages, d’ailleurs, ont des destins rapides et tragiques. Les autres, on n’en parle pas, ou peu.

La question du « comment allez-vous faire ? », c’est d’abord la distribution. J’ai vu d’emblée que l’on pouvait donner au Prince plusieurs voix, plusieurs corps, plusieurs facettes. En fait, quatre figures récurrentes que Machiavel nomme dès le début du texte : la Virtù, la Fortune, la Guerre et bien sûr le Prince, qui sera ici le Prince-Machiavel, le double corps de l’auteur et du sujet. La Virtù, que nous traduisons par Vertu, la Fortune et la Guerre sont des allégories comme les pratiquent couramment la littérature ou la peinture de la Renaissance. Ce ne sont donc pas exactement des personnages au sens du théâtre. Mais Machiavel les utilise de manière dramatique : à travers tous les exemples historiques, le texte est une très habile composition, une négociation permanente entre ces figures. L’enjeu est bien de savoir comment elles réussissent ou non à cohabiter, comment elles s’allient ou s’opposent, se partagent l’espace du récit - et du pouvoir. Comment elles portent au pouvoir et à la chute. […]

Il y a au moins trois façons, très distinctes, de vivre ce texte théâtralement : le mode épique, dans un certain nombre de récits comme la traversée de l’Italie par Louis XII ; le mode de la discussion, du débat sur les points soulevés par ces récits ; et le mode de l’adresse publique, du discours et de la tribune, presque comme dans un meeting politique. On y retrouve tous les éléments du théâtre : identification, émotion, critique et si possible catharsis ! Il y aura aussi une voix musicale - des thèmes de jazz à la trompette. Ce qui est le plus jubilatoire dans le jazz, c’est l’art de l’improvisation, des entrées, du break, des variations et des reprises, de la transformation des motifs et de la mélodie. C’est un art de l’écart et du renversement et cela rend triste et gai. Le Prince est écrit exactement de la même manière.

Le scandale de Machiavel, c’est sa franchise. On lui prête les défauts qu’il constate, les turpitudes qu’il analyse. La fortune du terme « machiavélisme » ne tient à rien d’autre qu’à cette fusion de l’auteur avec son sujet. Je trouve intéressant par rapport à cette identité brouillée de Machiavel de poser sur scène quelque chose d’authentique, c’est-à-dire le texte dans son déroulement.

Je veux montrer que Machiavel est un grand auteur. Si le monde est tel qu’il est, quel est le remède ? Il n’y a pas de poudre de perlimpinpin, nous dit-il. Le seul remède, c’est la connaissance et la pratique. J’aime sa manière de le dire : allegro furioso.

J’ai demandé à Jacqueline Risset, de traduire Le Prince (à paraître au printemps 2001 chez Actes Sud-Babel) parce qu’elle est en premier lieu poète et qu’elle a merveilleusement traduit La Divine comédie de Dante. Machiavel lisait Dante, il était comme lui florentin et comme lui partagé entre l’écriture et l’engagement politique. Il faut presque à mon avis avoir vécu Dante pour vivre Machiavel, cette passion littéraire et politique qui les habite tous deux. Et la personne qui a vécu Dante est, pour moi, Jacqueline Risset. Elle a aussi su entendre la théâtralité du texte lui-même, car elle a immédiatement capté le secret littéraire du Prince – c’est-à-dire son oralité.[…]

Jacqueline Risset (Traductrice)

Poète, critique, traductrice, elle a publié les volumes de poésie : Jeu, Seuil, 1971 ; La traduction commence, Bourgois, 1978 ; Sept passages de la vie d’une femme, Flammarion, 1986 ; L’Amour de loin, Flammarion, 1988 ; Petits Eléments de Physique amoureuse, Gallimard, 1991 ; Les volumes d’essai ; L’anagramme du désir, Bulzoni, Rome, 1973 ; L’Invenzione e il Modello, Bulzoni, Rome, 1973 ; Dante écrivain, Seuil, 1982 ; Dante scrittore, Mondadori, Milan, 1984 ; Marcelin Pleynet, Paris 1988 ; Fellini, Le Cheik Blanc, Paris, 1990 ; La letteratura e il suo doppio, Rizzoli, Milan, 1992 ; Dante, une vie, Flammarion, 1995 ; Les Puissances du sommeil, Paris, 1997.

Elle a traduit en italien Poeti di Tel Quel (Einaudi 1970), Francis Ponge (Il Partito preso delle cose, Einaudi, Turin, 1978) et un de ses livres de poésie (Amor di lonsano, Einaudi, Turin, 1993). En français La Divine Comédie de Dante (Flammarion 1985-90), révisée et republiée avec note et préface in La Comédie de Dante illustrée par Sandro Botticelli (Diane de Sellieran, Paris, 1996).

Professeur de Littérature Française à l’Université de Rome et actuellement directeur du Centre d’Etudes Italo-Français de Rome III, elle a été membre du comité de rédaction de Tel Quel de 1966 à 83, visiting professeur à l’Université de Berkeley (1982) et de Columbia (1987) ; elle collabore à diverses revues françaises, italiennes, anglaises et américaines ; elle est membre de l’Université de l’Europe (Paris).

Autour du spectacle

Rencontres Machiavel : De la politique comme un des beaux-arts

Animées par Le Monde Diplomatique, ces rencontres seront l’occasion de saisir l’actualité de la pensée de Machiavel. En présence de spécialistes de la philosophie machiavellienne, de praticiens de théâtre, d’historiens… : avec Etienne Balibar, philosophe, Marie Gaille-Nikodimov, philosophe, Giacomo Marramao, spécialiste de la philosophie politique, Jean-Luc Nancy, philosophe, Jacqueline Risset, poète et traductrice, Anne Torrès, metteur en scène, Jean-Pierre Vincent, metteur en scène et directeur du Théâtre des Amandiers…

- Vendredi 20 avril à 14h30 - Institut Culturel Italien (50 rue de varennes Paris 7e ; Métro Rue du Bac)
- Samedi 21 avril à 14h30 - Théâtre Nanterre-Amandiers

Entrée libre – réservation

Rencontres organisées par le Théâtre Nanterre-Amandiers avec le soutien de Thécif-Région Ile-de-France, le concours de l’Institut Culturel Italien de Paris et du Monde diplomatique.

Au bord du plateau – Théâtre Nanterre Amandiers

Rencontres avec l’équipe artistique à l’issue de la représentation le dimanche en matinée, en présence d’un invité particulier :
Dimanche 22 avril : Jacqueline Risset, poète, critique et traductrice
Dimanche 13 mai : Patrick Boucheron, spécialiste de l’histoire de l’Italie médiévale.
Dimanche 20 mai : Isabelle Bourboulon, association ATTAC (Association pour la Taxation des Transactions financières pour l’Aide aux Citoyens).

Editions Actes Sud Babel

Le Prince, de Nicolas Machiavel, préface et traduction de Jacqueline Risset
A paraître en avril 2001

Le Magazine Littéraire

Numéro consacré à Machiavel
A paraître en avril 2001

France Culture

Débat et avant-première du spectacle, réalisation Claude Guerre, diffusion en avril 2001.

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Informations pratiques

Nanterre - Amandiers

7, av. Pablo Picasso 92000 Nanterre

Accès handicapé (sous conditions) Bar Grand Paris Hauts-de-Seine Librairie/boutique Restaurant Vestiaire
  • RER : Nanterre Préfecture à 773 m
  • Bus : Théâtre des Amandiers à 7 m, Joliot-Curie - Courbevoie à 132 m, Liberté à 203 m, Balzac - Zola à 278 m
  • Voiture : Accès par la RN 13, place de la Boule, puis itinéraire fléché.
    Accès par la A 86, direction La Défense, sortie Nanterre Centre, puis itinéraire fléché.
    Depuis Paris Porte Maillot, prendre l'avenue Charles-de-Gaulle jusqu'au pont de Neuilly, après le pont, prendre à droite le boulevard circulaire direction Nanterre, suivre Nanterre Centre, puis itinéraire fléché.

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Plan d’accès

Nanterre - Amandiers
7, av. Pablo Picasso 92000 Nanterre
Spectacle terminé depuis le jeudi 24 mai 2001

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