Elle n’est pas si grande la distance entre un père et un fils…Le fils compose, chante. Il manque d’inspiration. Il est prêt à lâcher les rênes, à renoncer. La voix de son père, trop lointaine, il l’associe à son désenchantement. Les mots, eux, ont leur portée…Tant d’amour sous l’écorchure et la colère.
« Enfin un spectacle qui met en juste valeur l'utopique rêve de mon père. » Mathieu Ferré (fils de Léo Ferré)
Elle n’est pas si grande la distance entre un père et un fils…Le fils compose, chante. Il manque d’inspiration. Il est prêt à lâcher les rênes, à renoncer. La voix de son père, trop lointaine, il l’associe à son désenchantement. Les mots, eux, ont leur portée…Tant d’amour sous l’écorchure et la colère.
« Intense, original, bouleversant, saisissant de profondeur ! Parler des larmes dans la poussière ! Talent ! » Le Monde.fr
« Tant d’amour sous l’écorchure et la colère ! » Gilles Costaz, Webthéâtre
« Restituer le verbe de ceux qui sondent la nature de l'homme ! » Culture Box
« Félicitations pour cette performance théâtrale due à deux grands comédiens, dont un est un virtuose du violon. Pur moment d’abandon où l’on ressort dérouté, ému et riche de l’univers de Léo Ferré. » Avignon à l’Unisson
« Après Proudhon Jean Pétrement se penche sur un autre anarchiste, Léo Ferré. Belle adaptation originale à travers un dialogue père-fils. Première mise en scène réussie de Lucile Pétrement valorisant le travail de « passeurs » des acteurs ! » Vaucluse Matin
« Le père, le fils, et Léo Ferré... Engouement et lyrisme, sur une mise en scène épurée de Lucile Pétrement. C’est un vrai travail de composition sans trahison aucune ! » Radio Albatros
« Cela paraissait abyssal... Et pourtant... Pétrement -le père- avec sa gueule et sa dégaine à la Ferré est totalement crédible, quant au fils - Léonard stefanica - il s'avère irréprochable. » Jean-Luc Jeener, Figaroscope
« Léo et Lui sort Ferré des sentiers rebattus de l'interprétation ! Du presqu'inédit, forage de grande profondeur, véritable duel ,du théâtre ! Un Ferré jamais entendu. Recomposition sublimissime ! » François André, Les copains d'la Neuille
« Créer c’est toujours emprunter sans que la marque de l’empreinte vous emprisonne. Idée de génie de Jean Pétrement ! Virtuosité et talent ! » Snes Fsu
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