Les Jumeaux vénitiens

Une cascade de quiproquos
Extrait
La presse

• Une cascade de quiproquos

Deux jumeaux, l’un balourd, venu de sa campagne, l’autre urbain, bien fait de sa personne mais désargenté, se retrouvent à Vérone en ignorant leur présence mutuelle. Le premier est venu épouser sa femme à la suite d’un accord avec le père, le second, rechercher sa belle, le temps de régler une situation délicate. Et pour ne pas être reconnu, ce dernier se fait passer pour l’autre…

On imagine la cascade de quiproquos, d’erreurs et de malentendus qui en découle. Amours contrariés, amitiés trahies, illusions, fausses interprétations, rixes et méprises tragiques, la soirée file à vive allure, relayée par des rebondissements incessants et une mise en scène alerte. Le spectacle oscille entre commedia dell’arte (certains personnages sont masqués) et modernité du polar ou de la B.D., avec ce qu’il faut, là où il faut pour brosser un type universel, rendre actuelle une scène, pousser le comique.

Ajoutons l’énergie communicative d’une troupe homogène et l’extraordinaire présence de l’interprète principal (magnifique Rodrigue à la Comédie il y a quelques saisons et héros shakespearien sur une autre scène la saison passée) et l’on comprendra que l'esprit de la comédie est ici servi au mieux.

Un spectacle joyeux, généreux, à partager en famille.

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• Extrait

Rosaura : Mais je voudrais que vous m’expliquiez une chose ;
Vous semblez avoir deux visages tout à fait opposés. 
Parfois vous êtes un parfait crétin et parfois un jeune homme plein d’esprit.
Parfois effronté et parfois réservé.
Que signifient toutes ces métamorphoses ?

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• La presse

« L'intrigue est emportée par un vent de folie et des interprètes réglés au millimètre. Et pourquoi la BD ne serait-elle pas une transposition actuelle de la commedia dell'arte ? En tout cas, ça cartoone… » Dominique Jamet, Marianne

« Dans cette mise en scène dynamique, les interprètes se donnent à 100 %. Mention particulière pour Frédéric Cherboeuf, excellent dans le double rôle des jumeaux. On s'amuse, on rit franchement. » Lise de Rocquigny, Pariscope

« Adel Hakim ne recule devant rien pour empêcher le spectateur de s'installer dans le confort de ses repères habituels. Voilà du théâtre qui secoue durablement. » A nous Paris

« On sourit, on rit, on pleure, on s’émeut : les troubles de la gémellité ne font encore ici que renforcer les hystéries enchantées de maître Goldoni. » Fabienne Pascaud, Télérama

« La troupe, épatante, emmène le spectateur avec ardeur. » Corinne Denailles, Zurban

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