Si le mythe Crin Blanc revenait aujourd'hui de son exil forcé, retraversant cette même Méditerranée pour racheter la conduite des hommes, qu’est-ce qu’il nous dirait et avec quels mots ? Emmenée par Jean-Marc Barr, la pièce dessine une variation autour de ce thème et de celui de la traversée.
De Crin Blanc au navire humanitaire Louise Michel, une suite universelle.
Si le mythe Crin Blanc revenait aujourd'hui de son exil forcé, retraversant cette même Méditerranée pour racheter la conduite des hommes, qu’est-ce qu’il nous dirait et avec quels mots ?
La pièce dessine une variation autour de ce thème et de celui de la traversée : destins croisés d’une femme qui a choisi la liberté, d’un homme qui possède quatre vies ou d’un autre qui voudrait pouvoir tout recommencer même si son coeur gèle. Métaphore du déracinement d’humains contraints à se déplacer, à partir et à tout abandonner.
Le spectacle questionne la mer Méditerranée, territoire contradictoire, et ce qu’elle représente comme utopie, l’idée même d’une vie libre. Passeur/sauveur, le cheval, présent sur scène, initie le récit, ramène les corps échoués et rend concrète l’idée de la liberté et du sauvetage.
La pièce, emmenée par Jean-Marc Barr, est une exclusivité francilienne. Rare au théâtre, Jean-Marc Barr se fait connaître dans le film culte Le Grand bleu ou Dogville de Lars von Trier avec notamment Nicole Kidman, Lauren Baccall. Au théâtre, il crée à Belgrade la nouvelle de Léon Tolstoï, La Sonate à Kreutzer, puis joue la version française à la Comédie de Picardie et en résidence de reprise à Lattes au Théâtre Jacques Cœur.
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