Une petite cellule d’activistes s’attelle à un projet qui la dépasse : supprimer la tyrannie et bannir les injustices, à commencer par l’élimination du grand-duc. Une révolution, donc. Elle sera menée par des hommes et des femmes qui vivent, s’aiment, se disputent, mais qui devront s’effacer devant l’Organisation.
Au sein du groupe deux approches s’affrontent : les plus modérés affirment qu’il n’est pas permis, au nom de la révolution, de s’en prendre à des innocents. Pour Stepan, ce sont des meurtriers délicats... Il préconise une révolution absolue, quitte à ce que le peuple pour lequel il lutte en paye le prix fort.
Albert Camus obtient le prix Nobel en octobre 1957 « pour l'ensemble d'une œuvre qui met en lumière, avec un sérieux pénétrant les problèmes qui se posent de nos jours à la conscience des hommes ». En lien le texte du discours d'Albert Camus qui dit l'idée qu'il se fait de son art et du rôle de l'écrivain ? A lire de toute urgence.
Pour le texte qui n'a pas pris une ride. Distribution inégale, dommage mais c'est difficile d'avoir le physique de l'emploi et le talent qui va avec. Quant à la mise en scène, pas très convaincante. Conclusion : il faut y aller quand même car par les temps qui courent ça permet une piqûre de rappel !
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Pour le texte qui n'a pas pris une ride. Distribution inégale, dommage mais c'est difficile d'avoir le physique de l'emploi et le talent qui va avec. Quant à la mise en scène, pas très convaincante. Conclusion : il faut y aller quand même car par les temps qui courent ça permet une piqûre de rappel !
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