« L’amour ne connaîtra jamais de loi » (Carmen de Bizet)
Elisabeth Mansart, la quarantaine, cantatrice excentrique égocentrique, et Michel, premier violon à l’Opéra de Toulon, formaient sur la scène et en coulisses un couple plutôt idéal. Mais c’était sans compter sur le démon de midi… Une jeune choriste fit perdre à Michel le sens commun et le reste : il quitte un beau matin, le nid conjugal avec quelques partitions et quelques nœuds papillons.
Suzanne Vogel, la cinquantaine, femme de cœur dévouée, a consacré sa vie à son fils Edouard, à Jacques son mari, et à la petite entreprise familiale. Jacques, un peu moins dévoué, avait une double vie… une maîtresse qui avait de gros besoins… surtout matériels ! Il choisit de s’enfuir du domicile conjugal après le départ de leur fils Edouard parti faire de brillantes études de biologie marine aux Etats-Unis, laissant Suzanne seule, sans argent, condamnée à vivre dans une chambre de bonne.
Son énergie et son sens de l’humour inattaquable ne lui font pas baisser les bras. Quand la providence devenue son alliée s’en mêle, Suzanne retrouve au coin de la rue Elisabeth, son ancienne amie de cours de danse. Elisabeth invite Suzanne chez elle… La cohabitation de ces deux femmes coule de source mais la vie en communauté n’est pas si simple ! L’association de ces deux fortes personnalités si différentes provoque de joyeuses étincelles, mais face aux hommes elles font bloc : elles ne veulent plus en entendre parler…
Pourtant, à travers leur nouveau départ vers le monde du travail, ceux qui montrent le bout de leur nez sont loin d’être des hommes ordinaires… A commencer par Nicolas, directeur d’une « curieuse agence d’intérim » qui va réveiller chez Suzanne, après bien des périples, le « feu endormi »…
Elisabeth, emportée dans une course parsemée d’embûches pour décrocher le Rôle de sa vie, Carmen, et le fol espoir que son mari revienne à la maison, subit l’influence de son drôle de voisin Alexis, « médium à ses moments perdus ». Ses curieuses prédictions vont être riches d’enseignements, encore faut-il qu’Elisabeth puisse le voir…
Edouard, le fils de Suzanne à la recherche de sa mère, aurait-il son rôle à jouer dans cette histoire ?
« L’amour est loin, tu peux l’attendre, tu ne l’attends plus, il est là » (Carmen)
A gagner chaque soir du 8 avril au 1er mai 2004 : un week- end en amoureux pour une destination de rêve !
Très sympa, bien joué, les filles mais surtout Hugues qui m'a un au début fait croire que la troupe était composée de cinq ou six personnes (pourtant j'avais vu l'affiche). Nous étions quatre et nous avons tous apprécié. La salle était peu remplie, ce qui est dommage, la pièce et les acteurs méritent mieux. JP Seguin
Très sympa, bien joué, les filles mais surtout Hugues qui m'a un au début fait croire que la troupe était composée de cinq ou six personnes (pourtant j'avais vu l'affiche). Nous étions quatre et nous avons tous apprécié. La salle était peu remplie, ce qui est dommage, la pièce et les acteurs méritent mieux. JP Seguin
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