C’est un enfant de 62 ans qui appelle sa mère, il aimerait qu’elle le prenne par la main et qu’ils passent un dimanche heureux. Des voix lui répondent, des personnages lui apparaissent, issus de ses souvenirs, ses rêves ou ses cauchemars : sa mère et ses reproches, un Dieu qui peut peu, un anesthésiste inquiétant, un directeur de maison de retraite encombrant, et enfin, son père, qu’il n’a pas connu et qui lui demande des comptes sur l’état du monde...
Les comédiens sont musiciens, les musiciens sont comédiens. Ils sont quatre : un homme-guitare, un homme-trombone, une femme-accordéon, un homme-pyjama. Ils sont les protagonistes de cette pièce où le texte et la musique se soutiennent mutuellement pour transformer les angoisses en joie de vivre. En deuxième partie, on retrouve ces personnages dans un concert étonnant et détonnant du groupe mumisback…
Vous savez comme j’étais réticent à votre idée de musique et d’acteurs musiciens, mais après avoir assisté à l’une des représentations de votre Maman Revient, je veux vous dire combien je fus – et mon épouse également – ému et ravi par votre interprétation qui donne à voir et à entendre ce texte qui m’est si cher.
Merci à vous, merci à toute la troupe. J’espère que vous aurez l’occasion de jouer souvent et longtemps, j’espère aussi avoir le plaisir de revoir notre Maman Revient.
Jean-Claude Grumberg
A Compiègne, quelques étudiants-ingénieurs et un metteur en scène se réunissent pour faire du théâtre. Quelques années plus tard, après diverses expériences personnelles dans le spectacle (théâtre, cirque, musique…), ils créent ensemble à Nevers la Compagnie des Passagers de l’Aube.
Cette compagnie rassemble actuellement une dizaine de comédiens, musiciens, techniciens et metteurs en scènes (chacun revêtant une ou plusieurs casquettes) et travaille depuis 1999 avec la Maison de la Culture de Nevers et de la Nièvre où elle crée un laboratoire de petites formes.
Piéce découverte au festival Nous n'irons pas à Avignon à Gare au théâtre à Vitry sur Seine en 2005. Une envie de revoir ce spectacle en entier car il fût tronqué . Un superbe moment qui vous entraîne dans la folie du pauvre orphelin . A voir pour les acteurs, la mise en scéne , la musique , les textes , un très bon moment de théâtre .
Piéce découverte au festival Nous n'irons pas à Avignon à Gare au théâtre à Vitry sur Seine en 2005. Une envie de revoir ce spectacle en entier car il fût tronqué . Un superbe moment qui vous entraîne dans la folie du pauvre orphelin . A voir pour les acteurs, la mise en scéne , la musique , les textes , un très bon moment de théâtre .
2 bis, Cité Aubry 75020 Paris