C’est la vie qui va entre une mère et son fils, c’est l’enfance sans père, c’est une histoire pleine de fantômes, c’est un théâtre pour de grands enfants qui aiment leur mère. Que leur devons-nous dans ce que nous sommes devenus ?
C’est la vie qui va entre une mère et son fils, c’est l’enfance sans père, c’est une histoire pleine de fantômes, c’est un théâtre pour de grands enfants qui aiment leur mère.
C’est une pièce sur le courage, la résistance à l’adversité. Et ça crie, ça pleure, ça chante, entre rêve et réalité, entre humour et gravité, pour le meilleur de l’humanité, entre tendresse et brutalité.
Que devons-nous à nos mères dans ce que nous sommes devenus ?
« Tendre, drôle et authentique. Le public sort avec un large et franc sourire. » Télérama TT
« C'est inoubliable. » Le Canard Enchaîné
« Depuis quelques années, Moman cherchait à se loger à Paris. Elle avait peur de s’y retrouver sans abri avec Louistiti, son fils unique et préféré. Elle avait peur, comme en son temps ma vraie maman à moi avait eu peur elle aussi, d’être expulsée à cause des loyers pas payés, et de se retrouver avec ses fistons sur les bras, sans logis, « sous les ponts », comme elle disait. Elle n’est plus là depuis longtemps et je ne peux donc pas lui annoncer que Moman et son Louistiti chéri, sont accueillis ce printemps à La Scala Paris. Oui oui, à La Scala Paris ! Dans l’ex-ciné où l’on allait les dimanches après-midi. Elle n’aimait que les films français, et moi que les films américains en
français, mais, ce qu’on aimait tous les deux, c’était aller à La Scala vu que c’était le plus rupin des cinés du quartier et qu’on y était si bien assis. En plus, je suis heureux et fier comme un p’tit banc, d’avoir Clotilde et Hervé pour donner voix et vie à ma Moman de papier et à son Chipounet chéri. Par les temps qui ne cessent de courir - aujourd’hui, comme hier -, avoir un toit sur la tête pour se protéger de tout ce qui tombe des cieux, c’est ce qu’il y a encore de mieux dans la vie qu’on vit. Allez, tous à La Scala Paris, sans poeur ni reuprrôche ! »
Jean-Claude Grumberg
Cette pièce est touchante. Une femme élève seule son fils dans un environnement de pauvreté du Nord de la France. Les expressions approximatives mélangées au patois "nordiste" rythme un quotidien qui bien que morose se trouve illuminé par le sourire du coeur où l'on s'aime "Gros comme 'ça !...
C'est chaleureux, populaire, authentique, violent, taiseux mais toujours intensément bouleversant.
Pour 2 Notes
Cette pièce est touchante. Une femme élève seule son fils dans un environnement de pauvreté du Nord de la France. Les expressions approximatives mélangées au patois "nordiste" rythme un quotidien qui bien que morose se trouve illuminé par le sourire du coeur où l'on s'aime "Gros comme 'ça !...
C'est chaleureux, populaire, authentique, violent, taiseux mais toujours intensément bouleversant.
13, boulevard de Strasbourg 75010 Paris